1. De plaisirs en douleurs délicieuses 2


    Datte: 05/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Sexe Interracial Inceste / Tabou Auteur: charime, Source: xHamster

    ... univers.
    
    - Tu vois, quand je ne suis pas au Japon. C’est ici que je m’attache et reste des heures immobilisées avec, parfois, des godes en moi. Je peux même me suspendre. Là, tu vois ces ficelles qui pendent du plafond, c’est là que j’accroche mes clefs quand je veux me délivrer. C’est une reproduction presque exacte de la pièce où mon mentor me faisait subir ses supplices.
    
    - C’est pas dangereux ?
    
    - Si, si on ne prend pas quelques précautions, comme un double des clefs toujours à portée de de main. Dans ces armoires, j’y ai tout mon matériel pour m’attacher, on appelle ça du self-bondage. Tout vient du japon et tout est artisanal, je déteste tout ce qu’on trouve dans ces sex-shops.
    
    - Mais tu ne te flagelle pas tout de même.
    
    - J’ai essayé, je ne le nie pas. Mais j’ai peur de me faire mal. Tu vois quand je suis chez mon Maître, c’est à lui que je m’abandonne pendant qu’il me travaille au corps. Il peut presque tout me faire subir et je dois dire qu’il a réussi à repousser mes limites bien au-delà de ce que je pensais possible. Du reste, j’ai toujours voulu que tout soit filmé. Cela étant, pour passer la douane avec ce genre de vidéos, ce n’est pas évident.
    
    Du coup, elle m’ouvre une petite armoire qui contient une imposante collection de DVD de ses séjours japonais. Elle choisit un film au hasard, regarde la pochette et me sourit en me disant que cela devrait me plaire. Elle m’invite à m’assoir sur son lit à baldaquin. Ce n’est pas le genre de lit qu’on ...
    ... trouve dans une chambre à coucher de tout en chacun. Non, vaut mieux pas, surtout avec des gosses en bas âge ou des ados. Il sert plus à entraver votre soumis et en jouir comme on le désire, voyez le genre. Sur le grand écran, cela va vite. Dès qu’Isabelle est dans cette vaste salle, elle est attachée. Cela dit, en kimono, coiffée à la mode japonaise, ça lui va à merveille. Les gestes de l’homme, le Maître, sont lent et précis. Très vite, Isabelle se retrouve avec les bras croisés et solidement attachés dans le dos et sa poitrine enlacée dans cette même corde. C’est un petit bondage relativement classique. Mais après, cela se corse un peu pour Isabelle. D’une autre corde, il la passe entre les cuisses, autour de la taille et, agenouillant Isabelle, fixe la corde à un anneau derrière elle. Encore après, il lui fixe les cuisses à ses chevilles. Isabelle est dans l’incapacité de se relever ou même de bouger sans ne pas tomber. Plus le jeu avance, plus Isabelle est dévêtue sans jamais la voir entièrement nue. Du reste, elle porte une culotte blanche japonaise sous son kimono. L’homme, relativement âgée, la soixantaine, vient avec des bougies dans ses mains. La cire coule déjà sur la majestueuse poitrine d’Isabelle qui ne crie pas, seulement une forte respiration à chaque goute de cire brulante reçue. Je la vois fixer cette caméra fixe puis l’autre et enfin, celle juste au-dessus d’elle. Parfois, le Maître en déplace une pour une meilleure prise de vue. Sur les seins, après la cire ...
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