1. Un voyage improvisé, une découverte fascinante


    Datte: 25/01/2018, Catégories: fh, hplusag, grossexe, autostop, toilettes, fsoumise, Oral fsodo, occasion, Auteur: Julie la praline, Source: Revebebe

    ... dit. Je me tourne et lui obéis. Paul ne perd pas une seconde, il abaisse mon jean et me le retire. Il abaisse mon string jusqu’aux genoux.
    
    — Ne te retourne pas, ne regarde pas. Tu as un cul magnifique ! Je vais te faire découvrir des choses que tu ne soupçonnes même pas. Ne sois pas surprise, ça risque d’être difficile au début.
    
    Le temps me paraît long, j’ai peur… j’entends Paul se masturber derrière moi, je reconnais le bruit de l’humidité, il a dû lubrifier son engin. J’imagine la vision qu’il doit avoir, j’aime me sentir si soumise. Je n’ai jamais été autant excitée. Je tends mes fesses vers l’arrière comme pour l’inviter.
    
    Paul met une main sur ma hanche et je le sens pointer son gland sur mon anus. Aussitôt je sens une pression et mon derrière s’ouvrir. Jusque-là tout va bien…
    
    — Détends-toi, me dit Paul. C’est le moment le moins agréable.
    
    Paul s’enfonce alors en moi en élargissant mes parois, je sens mes fesses ouvertes comme jamais et j’avoue à ce moment-là ne pas prendre de plaisir. Cette intrusion me fait mal et m’arrache une larme accompagnée de longs gémissements. J’envisage de me retirer mais Paul met sa deuxième main sur mon autre hanche. Il me tient avec puissance et je comprends que je n’y échapperai pas. Mais en même temps, je n’ai pas envie que ça s’arrête. Je ne veux pas décevoir Paul, je veux encaisser, comme il dit.
    
    Paul arrête sa poussée, reste en place et me dit :
    
    — Ça va aller, ne t’inquiète pas. Le plus dur est fait. Je vais ...
    ... maintenant pouvoir prendre ton petit cul. Rends-toi compte que tu as une bite de 25 centimètres dans les fesses.
    
    Alors je ne m’étais pas trompée, je réponds dans un long râle :
    
    — T’inquiète pas, je m’en rends compte !
    — Allez, c’est parti ! me répond Paul
    
    Aussitôt Paul recommence à s’enfoncer un peu plus en moi, je me sens investie, possédée. Le fait qu’il se soit arrêté un peu me permet de mieux supporter son avancée. Je sens mes fesses s’ouvrir, j’ai l’impression qu’il remonte jusque dans mon ventre et que jamais il ne s’arrêtera. Petit à petit, la douleur se mélange au plaisir. Au bout d’un moment, je sens ses lourdes bourses venir se poser contre ma vulve. Ça y est, il est en moi.
    
    Son énorme verge agit comme un tuteur en moi, je ne peux ni me pencher ni me relever, je suis paralysée et les muscles de mon anus se contractent autour de cet épais membre, comme pour l’expulser.
    
    — Julie, tu ne vas pas me croire, mais c’est la première fois de ma vie que je peux rentrer ma bite en entier. Ton cul est génial. Maintenant, je vais te le défoncer, mais si ça ne va vraiment pas, dis-le moi. Ok ?
    — Paul défonce-moi, s’il te plaît !
    
    Mais qu’est-ce qui m’a pris de dire ça ? Je suis devenue folle ou quoi !
    
    À ces mots, Paul entreprend un va-et-vient ample en moi, je le sens faire des mouvements d’au moins vingt centimètres. Au début, j’ai un peu mal, mais cette sensation est extraordinaire. Sentir un membre si large et long coulisser dans mes fesses, le sentir me remplir ...
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