ce coquin de propriétaire ! (20)
Datte: 04/06/2018,
Catégories:
Gay
Auteur: petitesyl, Source: Xstory
... c’est-à-dire nue. Je ne trouve pas Marc. Où peut-il bien être.
J’ouvre la porte d’entrée, enfin étant à l’intérieur de la maison, elle me permet plutôt de sortir. Je suis toujours nue, mais je m’avance sans gêne sur le perron.
Pourquoi devrais-je prendre des précautions, pourquoi devrais-je avoir peur d’être nue et surtout d’être vue ? Nous sommes au milieu de rien et personne ne peut me voir.
La Voiture est toujours là, il n’est donc pas parti.
Mais où est-il ?
Soudain, j’entends une porte qui s’ouvre. Cela vient de l’intérieur. Je rentre et je vois Marc, nu lui aussi refermer une porte que je n’avais jusque-là pas remarqué.
— Où étais-tu ?
— En bas, je préparé quelques truc et je mis un peu de chauffage.
— En bas ?
Il ne répondit pas à ma question.
— Bon, tout est prêt, nous avons un peu d’avance, viens !
Il prit ma main et me tira vers la chambre.
— Met toi en position pour une levrette !
M’ordonna-t-il en me montrant le lit.
— Aie !
Il s’était positionné derrière moi, son bâton de maréchal au garde-à-vous et sans ménagement me sodomisa. Il fit quelques aller-retour, mais sans jouir.
— Bon va prendre une douche, lave-toi bien pour que je te fasse ensuite un petit lavement.
Son introduction était courte mais profonde et douloureuse, une telle « mise en bouche » si je peux utiliser cet expression finalement impropre, car il s’agissait surtout « d’une prise au cul », laissait présager une journée loin d’un roman à l’eau de ...
... rose… j’aurais d’ailleurs préféré qu’il commence par la feuille de cette dite rose ou l’utilisation d’un lubrifiant plus efficace que n’aurait été cette eau dite de rose.
Cependant, je me levais et me dirigeais vers la salle de bain pour prendre ma douche.
Alors que je sortais de la cabine, il arriva, une poire à la main.
— C’est l’heure du clystère !
Il me fit signe de retourner dans la cabine.
— Penche-toi en avant en écartant bien les jambes et en me présentant ton anus !
Sans dire un mot, je fis ce qu’il me demandait.
Il remplit une bassine d’eau chaude, pompa avec sa poire un peu d’eau et positionna la canule dans mon anus. Un jet chaud pénétra mon rectum. Il refit la même manœuvre à chaque fois pour bien me nettoyer.
— Ton fondement est tout propre maintenant et bon à être rempli !
Il me fit sortir de la douche et essuya mon corps avec une grande serviette.
— Viens !
Marc me fit m’asseoir nue dans le canapé.
— Tu attends là sans bouger et sans parler.
Il me laissa ensuite seule dans la pièce et disparu dans sa chambre pour en revenir bien plus tard.
Il était maintenant habillé d’un pantalon de toile beige clair et d’une chemisette blanche. Il mit ses espadrilles et sorti sans me dire un mot et sans même un regard en ma direction.
Peu après j’ai entendu le bruit d’une voiture, puis une portière qui claque. Je n’ai pas osé me lever pour aller voir à la fenêtre.
Il est ensuite apparu en compagnie d’un homme plus vieux, plus ...