1. Terma 67 - Omar le rouquin (3) :


    Datte: 04/06/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Noura, Source: Hds

    ... n’en pouvait plus de ses démangeaisons et m’a rappelé à ses désirs. Alors, d’autorité, je suis allé m’assoir sur les genoux et cuisses de Sourdi, allongé sur le divan. Je n’avais que ma gandoura que j’ai d’ailleurs soulevé pour dénuder mon derrière et ainsi, assis sur les cuisses de Sourdi, je ressentais son zob qui se réveillait et s’allongeait, sous son pyjama. C’était encourageant pour ma Terma, le zob de Sourdi semblait être capable. Alors, n’y tenant plus, je me suis levé et j’ai enlevé le pantalon de pyjama de Sourdi, libérant un gros zob qui était déjà assez gonflé pour débuter une sodomie. Puis, je l’ai empoigné et, en m’assayant de nouveau sur ses cuisses, j’ai réussi à pousser son zob dans mon anus et je me suis assis complètement dessus, l’enfonçant ainsi dans ma Terma jusqu’aux couilles. Sensation merveilleuse, ma Terma avait englouti le gros zob debout, vertical et gonflé. Et en remuant un peu mon derrière, le gos zob chatouillait mon intérieur d’une façon délicieuse, affolante. Penché un peu en arrière sur la poitrine de Sourdi qui a profité de ma nudité pour me saisir à deux mains les seins et les caresser et peloter à sa guise, j’ai fermé les yeux et me suis abandonné au plaisir et aux jouissances qui faisaient vibrer mon bas ventre. Nous sommes restés ainsi, presque immobile, mais le plaisir montait crescendo, petit à petit dans mon cul et dans le zob de Sourdi. Je le sentais nettement, ce plaisir, ce gonflement perceptible et supplémentaire du zob, ...
    ... provoqué par le plaisir qui montait de ses couilles. Et ce gonflement du zob me donnait à l’intérieur du cul un mouvement d’écartement de mes entrailles qui, à leur tour, provoquaient en moi ces jouissances qui s’amplifiaient. On est resté un long moment comme ça, sans vraiment bouger, mais, à l’intérieur, nos deux organes vibraient et se donnaient du plaisir. Enfin, Sourdi comprit que son zob a atteint son point maximum, alors il me donna un coup de rein, un coup de bélier, m’informant qu’il allait jouir et éjaculer. Je me suis soulevé légèrement sans quitter le corps de Sourdi mais seulement pour libérer les mouvements possibles de ses cuisses et de ses reins. Il pouvait ainsi donner à mon cul des coups de zob à sa guise. J’étais maintenant presque debout, mais complètement courbé, les cuisses largement ouvertes et le zob enfoncé au cul. Alors Soudi, dans un effort des muscles de son bas ventre, réussit à se lever complétement, gardant son zob dans mon cul. Et debout, il commença à me pilonner avec rage, en s’accrochant à mes hanches et secouant tout mon corps. Mais j’étais en position malaisée, alors en me retournant, j’ai réussi à m’appuyer des mains sur le dossier du canapé. Et Sourdi, qui était toujours debout derrière moi, avec son zob entièrement incrusté dans mes reins, continuait sa danse de vas et viens rageurs. Et ainsi, il continuait à me niker avec autant de violence et de passion qu’il pouvait et désirait, car il savait que je commençais à gouter et aimer cela. Et il ...
«1...3456»