1. La caméra espion 11


    Datte: 04/06/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Arsenne, Source: Hds

    Mon verre est vide. Elle se lève et va chercher la bouteille de vieux cognac et nous sert tous les deux. Ses yeux brillent et je ne sais pas si c’est l’alcool ou le souvenir de cette soirée qui en est la cause.
    
    Quand elle se rassoit à mes côtés, j’ai sorti ma bite qui est toute dressée. Elle sourit en la voyant. Elle pose nos deux verres et lentement elle se libère de sa robe, de ses sous-vêtements et vient me rejoindre. Son corps chaud comme de la braise contre le mien est d’une douceur exquise.
    
    Un verre dans une main, je me branle de l’autre.
    
    - Branle-toi aussi lui dis-je.
    
    Elle est surprise. Je sais qu’elle est excitée par le souvenir de cette nuit et même de me raconter. Je sais aussi qu’elle éprouve toujours de la honte d’être regardée quand elle se masturbe, car ce doit rester un acte solitaire. Cette solitude offre la liberté d’imaginer l’expression de fantasmes les plus fous. Pour la femme comme pour l ‘homme. Elle finit d’un coup sec son verre de cognac, pour se donner du courage, s’assoit confortablement à mes côtés sur le divan. Elle s’étend, une main caresse un sein, l’autre se glisse entre ses cuisses, un doigt replié titille son bouton d’amour. Je la regarde, impudique, elle a fermé les yeux, son bassin ondule au rythme des mouvements de ses doigts.
    
    - Continue à me raconter maintenant. Je veux te voir jouir, baisée en pensée par ces salauds.
    
    Quelques secondes après elle repend son récit.
    
    « Les deux types ont commencé par me scruter avec un ...
    ... sourire qui en disait long sur leurs intentions. Le premier à parler s’est adressé à Philippe sur un ton narquois.
    
    - Tu crois qu’elle va accepter de nous faire un strip-tease ? J’ai envie de la voir se foutre à poil lentement avec des gestes de pute.
    
    - Vous n’avez qu’à lui demander vous-même répondit Philippe. Elle est entièrement à disposition de vos fantasmes.
    
    Je voyais bien que Philippe cherchait à m’humilie, cela faisait partie de son jeu pour se venger de nous. Il parlait d’un ton sadique, méprisant. Le type s’est alors tourné vers moi et m’a ordonné de me déshabiller. Je dois t’avouer à nouveau que la situation m’excitait de plus en plus. Etre le jouet de ces hommes, soumise, docile, me réduisait à un simple objet sexuel. Cette humiliation au lieu de provoquer une révolte, me poussait à jouer le jeu. Je réalisais à cet instant que plus on m’humiliait, plus je jouissais.
    
    J’ai alors commencé par enlever ma veste. Doucement, en dégageant un à un mes bras. J’ai tourné sur moi-même pour fait valoir la bête. Philippe était assis sur le lit, les deux autres sur des chaises. C’est alors que j’ai constaté qu’un des deux gars avait son portable à la main et qu’il filmait mon effeuillage. Je n’ai rien dit, me foutant de ce que cela pouvait entraîner par la suite. J’ai ensuite enlevé ma jupe. Je trouvais que nue à partir de la taille devait être très excitant pour eux. Et je me suis mise à danser sur une musique imaginée. J’aimais être là, je savais qu’ils allaient me ...
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