1. TABLE DE SAPIN10


    Datte: 04/06/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... que j’emplissais mon verre la copine du beau frère prit place à mon côté. Elle a collé se bouche à mon oreille et m’a dit :
    
    - Quand tes beaux parents s’absentent qui vient ramasser le courrier ?
    
    - C’est souvent moi, pourquoi ?
    
    - Il se trouve que j’ai colis à faire livrer et je ne veux pas qu’il tombe dans n’importe quelles mains. Si tu vois ce que je veux dire ?
    
    - Oui parfaitement. Tu voudrais le faire livrer ici.
    
    - Oui ! Tu as tout compris.
    
    - Et il est gros ton colis ?
    
    - Non ! Il tient sans problème dans la boite aux lettres.
    
    - Et il arrive quand ?
    
    - A ce que je sache ils partent demain tes beaux-parents ?
    
    - Oui. À la première heure comme à leur habitude.
    
    - Alors il arrivera mercredi.
    
    Elle s’est saisis de mon verre et a bu une gorgée. Après un clin d’œil elle s’est levée et s’est avancée jusqu’à la piste de dance.
    
    Cela faisait déjà une bonne heure que je partageais mon attente avec Isabelle, la copine du beau frère. Attendant patiemment la venue du facteur. M’abroutissant d’histoires incohérentes. Puis pour mon plus grand plaisir, j’ai vue par la fenêtre arrivée la voiture de la factrice.
    
    - La voilà…
    
    Nous nous sommes tout deux levés, pour aller au-devant de la préposée. Hormis quelques enveloppes elle tenait aussi une boîte en carton.
    
    - Mademoiselle F… c’est chez vous ?
    
    - Oui… c’est cette jeune fille.
    
    - Bien ! Répondit-elle, j’aurais besoin d’une signature.
    
    Ceci fait elle tendit le colis.
    
    - Bonne journée… fit-elle ...
    ... en reprenant place à bord de son véhicule.
    
    Une fois dans la cuisine, Isabelle excitée comme une puce m’a demandé un couteau.
    
    - Dans le tiroir. Répliquais-je en lui désignant du doigt.
    
    Elle l’a ouvert et prit un grand.
    
    - Je voudrais contrôler qu’il ne manque rien. Fit-elle en découpant les bandes de scotch. Ce qu’elle en sortit me laisser sans voix. Il s’agissait d’une sangle avec aux extrémités deux menottes, et de deux autres au centre.
    
    - Tu sais à quoi sa sert ?
    
    - Oui… je pense avoir une idée.
    
    - Je vais l’offrir à mon chéri.
    
    - Très beau cadeau… fis-je ironiquement.
    
    - Il me tarde de l’essayer.
    
    - Pour ça il va falloir que tu patientes un peu. Il quitte à…
    
    - Mais je pensais que tu serais d’accord pour jouer le cobaye.
    
    - Comment ça. Là… tout de suite… maintenant…
    
    - Oui pourquoi pas. Cela t’embarrasse ?
    
    - Pas le moindre du monde… tu veux que je m’installe où ?
    
    Elle prit un temps de réflexion, avant d’envoyer :
    
    - Sur la table… oui sur la table…
    
    Elle n’en a tant vus cette table qu’elle n’était pas à un acte près. Je me suis allongé de tout mon long, sur le dos. Sans perdre une seule seconde de peur sans doute que je change d’avis temps, elle s’est penchée en avant pour me menotter les deux chevilles. Puis ce fut le tour de ma main droite.
    
    - Ce ne serait pas le moment que ma femme rentre. Fis-je alors qu’elle menottait ma main gauche. J’étais dans une posture que je vous laisse imaginer.
    
    Ceci fait elle s’est posté en bout de ...