1. Claudia, ma meilleure amie devenue salope (4) (partie 1/2)


    Datte: 03/06/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Ardiero, Source: Hds

    ... avant, ma bite de pierre échappant presque à sa main pour venir cogner la commissure de ses lèvres et elle comprend que je veux qu'elle accélère (bon en fait j'aimerais surtout avoir sa bouche rose vif autour de ma bite). Elle accélère donc sa branlette, et au bout de quelques minutes je sens que j'approche de ma limite mais que je ne peux pas finir dans ces conditions.
    
    - Montres moi tes seins, lui ordonné-je.
    
    Elle hésite puis secoue la tête pour dire non. Frustré, je ne sais pas ce qui me prend mais j'attrape ma queue et lui gifle la joue avec avant de réitérer mon ordre. Cette fois elle reste muette de stupeur (bon elle est muette depuis le début mais vous m'avez compris) puis elle ouvre les boutons de son chemisier pour me dévoiler son soutien-gorge. A peine les premiers boutons ouverts, ceux restants sautent d'un coup et sa poitrine jaillit hors du chemisier. Ils étaient compressés depuis le début à l'intérieur ! En réalité ils sont plus gros que ce que j'avais pensé, serrés dans un soutien-gorge noir. Je tente de les toucher pour les extirper de leur prison mais elle me gifle la main avant de serrer très fort ma queue, m'arrachant un gémissement.
    
    Puis elle se lève et, me tirant par la queue comme elle tirerait un cheval par la bride, m'emmène au bord du bâtiment. J'hésite mais elle me tire plus fort et je cède à son ordre silencieux, me plaçant debout au bord du vide, la queue dépassant largement dans ce dernier. Mon bas ventre se crispe et j'attrape la fille ...
    ... par la nuque pour l'embrasser. Elle se laisse faire et ma langue s'avance timidement pour toucher la sienne qui se rétracte au début, puis se mélange dans une danse dont nous sommes les seuls témoins.
    
    La vision de sa poitrine en soutien-gorge de près achève de me finir et alors que sa main me masturbe frénétiquement, j'agrippe ses fesses dessinées par les dieux avant de pousser un râle de libération. Un râle ? Que dis-je, en fait je crois que c'est carrément uncri. Je repense d'un coup à tout ce qui m'a excité ce soir : cette fille masquée aux cheveux bleus, la manière qu'elle avait de danser avec le colosse, de se laisser toucher le cul par le vigile, la soirée elle-même, sa chaleur, sa folie, ces gens libérés de toutes pudeurs et de toutes règles, cette sensation de pouvoir et de liberté qui m'habite, la position en hauteur où je me trouve comme si je dominais le monde. Tous ces facteurs se rejoignent à ce moment précis et je vis un moment d'absolue félicité.
    
    De mon chibre frémissant jaillit de longues traînées blanchâtres qui disparaissent dans la nuit. J'entends quelqu'un pousser un petit cri en bas mais peu m'importe et je fini de me vider, emporté dans un tourbillon de plaisir qui m'agite de soubresauts. La violence de cette délivrance me laisse pantois.
    
    La fille me lâche, recule un peu puis elle regarde sa main en partie couverte d'un peu de mon sperme. Elle me fixe, puis le lèche du bout de sa petite langue. Ma semence disparaît entre ses lèvres fuchsia puis ...
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