1. Mariage des amis


    Datte: 03/06/2018, Catégories: fh, extracon, fête, vengeance, Oral pénétratio, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... jusqu’à présent. Mais au lieu de se retirer, elle reste longuement, sans bouger, déglutissant. Après quelques secondes, se relève, nettoie des lèvres soigneusement toute la partie utilisée, la laissant retomber toute molle.
    
    Elle se lève, revient avec un gant humide, le lave soigneusement, puis le recouvre du drap et se couche contre lui.
    
    Les bruits de la maison le réveillent. Audrey, allongée sur un coude le regarde tendrement.
    
    — Oh, excuse-moi, hier j’avais bu et je ne me souviens plus de rien. C’est toi qui m’as déshabillé ?
    — Oui, je t’ai couché et bien soigné.
    
    Voulant la tester :
    
    — Je vais t’avouer, j’ai fait un rêve merveilleux. Tu me faisais l’amour et même…
    — Même quoi ?
    — Non, rien, je ne peux pas te le dire, tu te fâcherais.
    — Si, dis-le moi.
    — Non, tu ne peux pas t’imaginer.
    — Ah non, et c’était quoi alors ?
    
    Elle le découvre, s’empare de son sexe déjà dressé, excité par ces paroles. Elle le masturbe doucement, l’embrasse, le lèche, puis l’embouche. De la langue agace le filet, mordille la colonne. Il la laisse faire, voulant voir jusqu’où elle va aller. Mais ce traitement l’amène à son paroxysme. Elle le comprend et l’avale le plus possible. Alors il lui saisit la tête et tente de l’enlever. Elle se cramponne à ses cuisses, le garde en bouche. Alors comme dans la nuit, il explose et, consciencieusement, Audrey exécute le même nettoyage.
    
    Il la saisit et l’embrasse, connaissant ainsi le goût de son sperme.
    
    — Mon amour, c’est exactement ...
    ... ce que j’ai rêvé !
    — Tu ne l’as pas rêvé, je te l’ai fait cette nuit.
    — Mais pourquoi, tu ne voulais pas jusqu’à maintenant.
    — J’avais peur, je n’osais pas, mais cette nuit tu étais tellement attendrissant, inconscient, que j’ai pu opérer à mon rythme, sans être forcée. Et j’y ai pris goût.
    — Je ne sais comment te remercier. Attends.
    
    Et il entreprend de lui rendre la politesse, de la vaincre par là où il a été vaincu. L’amenant au bord du lit, les jambes pendantes, il soulève ses cuisses et les pose sur ses épaules. Ainsi écartées et il a sous le nez un spectacle charmant. Le plaisir qu’elle vient de donner à son amant l’a excitée et déjà la forêt est toute humide. La langue la lisse, puis essuie les lèvres et va jusqu’au bouton. Pendant ce temps, un, deux puis trois doigts s’introduisent dans l’antre moite et commencent à la branler en même temps que Patrice mordille le clitoris. Elle gémit de plus en plus fort, écarte les cuisses l’invitant à une pénétration plus conséquente. Il ajoute le petit doigt aux autres. Le pouce est inoccupé et vient se placer sur la rondelle. C’est un domaine interdit, aucune approche autorisée de cet endroit. Aussi, se contente-t-il de le laisser appuyé. Le manège alternatif des doigts, l’irritation du bouton font bouger le bassin qui monte et descend. Le pouce, très mouillé par le jus qui abonde, appuie de plus en plus fort, puis, doucement pénètre sans élever de protestation. Patrice prend bien soin de donner du plaisir, mais veut tenter ...