1. À la bibliothèque


    Datte: 03/06/2018, Catégories: fh, jeunes, extracon, Collègues / Travail école, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Oral 69, occasion, extraconj, vêtements, Auteur: Benoberna, Source: Revebebe

    ... fort tard. Me rendant compte de l’heure je manifestai, me levant, mon intention de rentrer.
    
    — Personne ne t’attend, m’as-tu dit. Reste dormir avec moi, on retournera demain ensemble à la bibliothèque, demanda-t-elle.
    
    Pourquoi pas, me dis-je. Mais je pris conscience qu’elle avait dit : dormir avec moi, et pas : dormir chez moi.
    
    — D’accord ! lui dis-je. Montre-moi la chambre.
    — La femme de ménage est en vacances et je ne vais pas te préparer un lit. Viens dormir avec moi, sauf si tu as peur de moi, dit-elle sur un ton qui ne souffrait pas la contradiction.
    
    Après tout, pourquoi pas ! pensai-je. Elle ne va pas me violer et, si elle le faisait, peut-être ne me défendrais-je pas. Et nous nous dirigeâmes vers sa chambre où se trouvait, pour elle seule, un lit presque aussi grand que celui que nous avions pour dormir à trois.
    
    — Ça ne te dérange pas si je dors nue ? demanda-t-elle, quittant sa culotte sans attendre ma réponse. D’ailleurs tu es bien nu toi-même.
    
    Et nous nous couchâmes, sagement, côte à côte, sans que ni l’un ni l’autre ne fasse un geste vers l’autre, et personnellement je ne tardai pas à m’endormir. Tard dans la nuit je me réveillai avec le sentiment d’une gêne au niveau d’une érection revenue après la soirée dure d’hier soir. Je me rendis rapidement compte que, couché sur le côté, j’étais collé au dos d’Anne-Lise et que mon sexe ne pouvait se dresser comme il l’aurait voulu, glissé qu’il était entre ses cuisses. Il ne pouvait se relever car il ...
    ... était calé contre son sexe. Que faire ? Anne-Lise ne bougeait absolument pas. Soit elle dormait profondément et ne se doutait de rien, soit, et c’était plus vraisemblable, elle était réveillée mais appréciait la tournure que prenaient les choses. Et moi, le sexe calé quasiment prêt à entrer dans le sexe d’une fille, j’avais des états d’âme ; je ne me faisais pas à l’idée de tromper Manon et Marie. Certes, elles étaient en train de copieusement me tromper, mais elles m’avaient prévenu. Alors que moi j’étais censé les attendre sagement.
    
    Je décidai de faire celui qui rêve, bougeant lentement, gémissant, cherchant de la main les tétons d’Anne-Lise, les trouvant, les agaçant. Je la sentis bouger ; elle devait maintenant prendre la direction de la suite des évènements. Elle me repoussa, me faisant basculer sur le dos et je ne tardai pas à sentir des chatouillis sur mon ventre — ses cheveux — et à être gobé par une bouche d’une douceur qui me surprit. J’allais donc me laisser sucer sans bouger, continuant à mimer un rêve érotique. J’avais une excuse, je ne participais pas ; les filles ne pourraient ainsi rien me reprocher, me rassurais-je.
    
    Anne-Lise, comme si elle m’avait compris, ne me touchait pas. Seule sa bouche était en contact avec moi, suçant tant et si bien un sexe qui s’en trouva rapidement ravi. Je sentis arriver une éjaculation longtemps contenue. Comment allait-elle réagir ? Nous verrions bien. Je décidai de laisser venir et surtout de ne pas me retenir. Et elle ne fut ...
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