1. Les voleurs indiscrets (1)


    Datte: 03/06/2018, Catégories: Trash, Auteur: Plaisirscharnels, Source: Xstory

    Un bruit de verre cassé me réveilla en pleine nuit. C’était sûrement Léo, mon chat maladroit. Je décidai donc de me lever à contre-cœur pour aller voir ce qu’il avait encore cassé en rentrant de sa balade nocturne. Après avoir allumé ma lampe de chevet à une faible luminosité pour ne pas abîmer mes yeux, je parcouru le chemin jusqu’à la porte de ma chambre. Mais en ouvrant ma porte, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir un homme qui fouillait les tiroirs dans mon salon muni d’une lampe torche. Je m’avançais donc vers lui :
    
    « Eh, qui êtes-vous ? Sortez d’ici ou j’appelle la p… »
    
    Je n’eus pas le temps de finir ma phrase que je fus emprisonnée dans des bras puissants me tenant fermement, l’une des mains de cet intru s’étant positionnée sur ma bouche. Le premier voleur que j’avais aperçu arrêta sa tâche, posa sa lampe torche et se retourna. Il était grand et bien constitué mais je ne pouvais pas décrypter ses traits dans la pénombre. Le second voleur demanda :
    
    « Qu’est-ce qu’on fait avec celle-là ? Je t’avais bien dit qu’on aurait dû vérifier s’il y avait quelqu’un !
    
    — Tiens la bien. Je vais chercher ce qu’il faut pour qu’on l’attache. On finira ce qu’on a à faire et on réfléchira à ce qu’on fait d’elle après. »
    
    L’homme disparu dans la cuisine alors que j’essayais de me débattre pour me libérer de l’emprise du deuxième voleur. Mais celui-ci était bien trop fort pour ma petite carrure.
    
    — Arrête de te débattre, tu n’arriveras à rien. Oh, mais je vois que tu ...
    ... avais chaud dans ton lit ! Ou peut-être qu’on t’a dérangée pendant que tu te faisais plaisir…, dit-il en profitant des lumières émises par la lampe torche posée au sol et de celle de ma lampe de chevet qui passait par l’entrebâillement de la porte pour me détailler.
    
    Je dormais en effet habillée d’une petite culotte et d’un simple débardeur, beaucoup trop large pour moi et qui laissait bien voir que je n’avais pas de soutien-gorge. Après ces constatations, son emprise se desserra quelque peu mais pas suffisamment pour que je puisse lui échapper. Si j’avais pu parler je lui aurais bien répondu d’aller se faire voir. Mais au lieu de ça, il approcha sa main libre de mes fesses et me chuchota :
    
    « Et si on s’amusait un peu ? »
    
    En réponse, j’émis un grognement de protestation. Je ne pouvais pas bouger plus car il avait réussi à bloquer mon corps. Il se colla contre moi et c’est là que je sentis une bosse contre mes fesses. Même si elle ne me semblait qu’en formation, elle avait l’air d’être déjà de bonne taille. Ça faisait quelques mois que je n’avais pas goûté aux plaisirs de la chair. J’étais terriblement en manque. Même si l’idée que ce gars me touche après m’avoir volé n’aurait pas dû me faire plaisir, mon manque se fit ressentir. Je pressais donc un peu plus mes fesses contre son sexe tout en me disant que, tant qu’à me faire voler, je pourrais peut-être moi aussi profiter de la situation. Il me dit alors d’une voix rauque :
    
    — Aurions-nous découvert une petite salope ...
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