Ellen m'avoua avoir eu sa première relation saphique
Datte: 02/06/2018,
Catégories:
fh,
ff,
cocus,
inconnu,
fépilée,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
massage,
rasage,
Oral
fgode,
fist,
initff,
fbi,
Auteur: Honey_lover, Source: Revebebe
... puissent faire l’amour en toute tranquillité.
Je dois humblement reconnaître que j’y trouvais mon compte car n’étant pas dupes de mon excitation à les savoir ensemble à deux pas de moi, elles n’ont jamais fermé la porte de la pièce où elles se trouvaient. Sans que nous n’en ayons jamais parlé, il existait entre nous un accord tacite. Je n’entrais pas mais je pouvais, sans jamais manifester ma présence afin de ne pas m’immiscer dans leur intimité, les observer discrètement et surtout, les entendre crier leur jouissance ensemble ou l’une après l’autre.
Je pouvais ainsi voir de mes propres yeux les possessions ou les jeux qu’elles pratiquaient, bref, des tas de scènes qu’un homme imagine facilement entre deux femmes faisant l’amour. Lorsqu’Aïcha s’en allait avec son matériel sous le bras, elle me soufflait :
— Merci Kev’, c’était trop bon comme d’hab. À bientôt. Bisous. Elle t’attend.
Je savais qu’Ellen n’avait pas bougé de la pièce où elle se trouvait. Elle m’attendait couchée, nue sur le ventre, les fesses bien en évidence, attendant que je vienne la pourfendre de mon vit dressé, douloureux de l’intense excitation accumulée. Souvent, elle ne se retournait même ...
... pas en m’entendant entrer, se contentant de cabrer un peu plus ses reins en offrande. N’importe quel mâle aurait pu la saillir.
Elle ne cherchait même pas jouir, déjà satisfaite plusieurs fois. Elle me permettait de me branler dans son ventre en la tenant solidement par les hanches, fière d’être encore en mesure de me satisfaire et peut-être persuadée que cet accouplement après ses propres jouissances dans les bras de son amie, soudait un peu plus notre propre couple.
Cette amitié a duré presque cinq ans, jusqu’au moment où Aïcha a dû s’en aller vers d’autres horizons, laissant mon épouse nostalgique des plaisirs lesbiens. À ma connaissance, elle n’a plus jamais succombé à ces plaisirs qui pourtant la comblaient. Peut-être était-elle en réalité amoureuse d’Aïcha.
Mon attitude est peut-être l’une des raisons qui m’ont permis, quand nous étions ensemble, de toujours obtenir de mon épouse ses faveurs même lorsqu’elle n’en avait vraiment pas envie. Par la suite, alors que nous étions en pleine séparation, elle a continué à m’accorder ses faveurs parfois même lorsque je débarquais chez elle à l’improviste.
Épisodes de notre vie que je ne manquerai pas de vous raconter…