1. l'anneau Asmodéen


    Datte: 02/06/2018, Catégories: Contrôle Mental, Auteur: bylemarquisdesade, Source: Literotica

    ... provoquant chez Blanche un état d'excitation et d'impatience qui la poussait à agiter son bassin et implorer l'homme de bien vouloir la prendre.
    
    Il refusa et lui imposa de s'empaler toute seule sur son piquet. Il vit donc les fesses magnifiques de sa dame aller et venir, frénétiquement, sur lui, immobile. Ses seins décrivaient un mouvement pendulaire au gré des mouvement de ses reins, et effleuraient parfois le visage de son mari. Blanche retrouvait le plaisir véritable. Elle ne réprimait plus ses gémissements de joie, qui allaient en s'amplifiant, mais heureusement, aucun de ses fils ne se réveilla. Enfin elle fut submergée par une vague de plaisir pur qui signait encore un orgasme.
    
    Blanche s'allongea sur l'autre canapé, épuisée de tant d'ardeur. Edmond la berça de baisers sur son corps chaud, et de caresses délicates. Elle ferma les yeux et s'endormit. Alors Az la prit comme une mariée, et la porta jusqu'à son lit, en princesse inerte, avant de l'y déposer, et appliqua un dernier baiser sur son front pour de s'en aller ensuite chez lui.
    
    Le lendemain, ce fut Henri qui se émergea le premier, encore dans le brouillard. Le mot doux de sa femme le fit se souvenir d'une scène érotique dans la douche avec elle, et il quitta le domicile heureux, mais soucieux du temps, car en retard.
    
    Ce fut ensuite au tour de Blanche, toujours nue, qui avait la tête pleine de souvenirs de la veille, et elle se surprit à ressentir un vide sans son amant, qui lui manquait déjà.
    
    Le ...
    ... petit Jean se mit à pleurer quelques minutes plus tard, ce qui réveilla aussi Georges. Les deux enfants demandèrent où était passé le gentil bonhomme de la veille.
    
    Chapitre 11 -- abstinence et adresse
    
    Ce jour là, Edmond Azram ne rendit visite ni ne téléphona à celle qui avait partagé son lit durant la nuit dernière, et n'était pas présent à la crèche de Georges.
    
    Blanche s'inquiéta d'abord, pensant qu'il s'était peut-être froissé de l'avoir vue dans la douche avec son époux. Elle ne connaissait en fait de lui que son prénom et son surnom, si bien qu'elle n'avait aucun moyen de le joindre.
    
    Frustrée, elle passa sa journée, entre deux repas ou allaitement de ses enfants, à se masturber frénétiquement, avec l'odeur de son prince charmant sur les draps du lit, qu'elle gardait près de son nez. Malheureusement, elle ne ressentit que le même plaisir fade qu'elle avait éprouvé lors de ses récents ébats avec son mari. C'était comme goûter à un met exquis en ayant le nez bouché, et elle n'arrivait à trouver cela qu'à peine agréable, elle qui s'agitait furieusement sous sa culotte, et malgré le geste, sa vulve peinait à s'humidifier. Pourtant elle n'arrêtait pas. À chaque fois qu'elle pensait à Edmond, sa main revenait simuler celle du jeune homme, et elle ne faisait qu'y penser toute la journée, de sorte qu'elle se surprenait souvent à crier son nom au milieu de sa frénésie.
    
    Vers la fin de l'après-midi, elle reçut tout de même un mystérieux message, mais comprit que le numéro ...
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