1. Rencontre improbable (1)


    Datte: 02/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: SYL30, Source: Xstory

    ... la sortie en prenant soin de ne pas la regarder. Passant près d’elle, elle me saisit au "vol" par le poignet, m’obligea à me pencher pour l’entendre me dire:
    
    — Tu es pressé ?
    
    — Oui, je vais au travail.
    
    — Eh bien, tu vas attendre cinq minutes.
    
    Pour seule réponse, je me mis à bredouiller je ne sais pas quoi.
    
    — Bien, en attendant, tu vas nous offrir un café. N’est-ce pas ?
    
    — Oui, bien sûr.
    
    Son amie semblait bien amusée de la situation.
    
    Elle me fit signe de m’asseoir à leur table et elles ont continué leur conversation sans se préoccuper de ma présence. Nous sommes sortis ensemble et avant de nous séparer, elle me demanda mon numéro de téléphone, mon adresse et mon prénom.
    
    — Sylvain.
    
    — Sylvain ? Je préférerais Sylvie. Qu’en penses-tu ?
    
    — Bin je ne sais pas euh... Si tu veux.
    
    Après m’avoir giflé sans retenue :
    
    — Si vous voulez Madame. Répète.
    
    Je m’exécute.
    
    — Bon, à partir de maintenant, tu es à ma botte, quand je te siffle, tu accours. Compris ?
    
    — Oui, Madame.
    
    — Bien ! Me caressant la joue avec un sourire menaçant, à bientôt, Sylvie. Mais avant, me désignant ses pieds, à genoux et embrasse. Je regardais autour de moi et obéissais.
    
    J’allais me ...
    ... relever quand sa copine me désigna elle aussi ses pieds qu’elle avait très jolis.
    
    Arrivé au bureau, Barbara était là.
    
    — TU vas bien, tu as une drôle de tête.
    
    — Non non, tout va bien, j’ai trop mangé, je crois. En riant.
    
    Le reste de l’après-midi, j’avais énormément de mal à me concentrer. Je m’inquiétais un peu de la suite de cette aventure et comment cela a pu arriver.
    
    Puis la routine a repris ses droits, je suis parti en déplacement à Carroz près de Nice, donc assez loin de chez moi, quand un soir je reçus un appel:
    
    — C’est Madame, alors tu t’amuses bien à Carroz.
    
    — Mais comment savez-vous où je suis ?
    
    — Ta gueule. Dorénavant, tu me signales tous tes déplacements si tu ne veux pas avoir d’ennuis.
    
    — Mais je n’avais pas votre numéro.
    
    — maintenant, tu l’as alors dès que tu rentres, tu m’appelles. ET tant que nous y sommes, je t’interdis de te soulager, car je suppose que c’est une pratique que tu apprécies.
    
    — Sans conviction, euh non.
    
    — Ouais ! Toujours est-il que je ne veux pas d’une branleuse comme esclave. Alors, prends garde à toi.
    
    Ce soir-là je fus dans l’impossibilité totale de lui obéir et je ne risquais pas grand-chose là où j’étais. Je ne tenais plus... 
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