1. Plafond de verre


    Datte: 01/06/2018, Catégories: fh, fhh, fplusag, couleurs, Collègues / Travail vengeance, chantage, entreseins, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... milieux qui, lorsqu’ils tapent dans la caisse des millions… Bref « que l’on soit riche ou misérable »…
    
    J’arrête, car je sens que je vais me lancer dans du politiquement pas correct.
    
    Toujours est-il que je me dis, qu’en visionnant ce qui se passe dans le bureau de « Georges », je pourrais peut-être trouver de quoi le faire « chier » un peu.
    
    Et je trouve.
    
    À première vue, sans le son et à vitesse accélérée, l’entretien paraît normal. Mais je n’aime pas le sourire carnassier de cet homme alors que son interlocutrice quitte son bureau. Alors je regarde en vitesse normale. Je vous épargne les détails, juste la dure réalité.
    
    — Bonjour. J’ai examiné votre candidature pour le poste en interne. Votre dossier est très bon.
    — Ah, j’en suis heureuse.
    — À ce stade, vous êtes en compétition avec Anna. Mêmes compétences ! Même CV. Elle est un peu plus jeune que vous, mais ce n’est pas obligatoirement un problème.
    — J’ai l’expérience, les qualités, l’envie de progresser…
    — Je n’en doute pas. Je dois juste faire un choix. L’expérience compte beaucoup.
    — Je comprends. Comment puis-je vous convaincre que je suis la bonne candidate pour ce poste ?
    — Justement ! Puisque vous en parlez ! Il faudrait qu’on aborde certains points en détail.
    
    Le Georges regarde sa montre.
    
    — Mais je n’ai pas le temps maintenant. Une réunion… qui risque de durer… Vous pouvez vous libérer après 19 h ? À ce moment-là, j’aurai plus de temps et nous pourrons aborder tous ces points sans le risque ...
    ... d’être dérangé.
    
    La femme semble perplexe, inquiète même.
    
    — Vous savez que ce poste demande plus de réactivité. C’est un poste de cadre ! On ne compte plus ses heures.
    — Oui, je sais. Il faut juste que je voie avec mon mari et aller chercher mon fils chez sa nounou.
    — C’est vous qui voyez. Je ne veux pas perturber votre vie de mère et d’épouse. Moi je reste ici jusqu’à 20 h. Des dossiers à régler. Si vous trouvez un moment, venez me voir. Si vous ne pouvez pas vous libérer, on verra demain. Mais il faut aussi que je contacte Anna. Pour l’instant vous êtes la seule au courant.
    
    La femme hésite, c’est évident. Moi, à sa place, je comprendrais la menace cachée.
    
    19 h 30. L’enfoiré est dans son bureau alors qu’on frappe à sa porte. « Entrez », il dit alors que les locaux sont vides et que plus personne du service ne peut venir le voir.
    
    C’est la femme. Celle qu’il a « motivée » par ses allusions malsaines. Elle entre. Elle s’est changée. Elle est élégante avec sa robe cintrée qui la moule délicieusement. Coiffure et maquillage sont en accord. Ce n’est plus la salariée, plutôt une femme en sortie. Il est évident qu’elle a bien intégré les allusions du Georges. Comment a-t-elle fait avec son mari pour expliquer cette tenue et cette heure inhabituelle ? Un pot de départ ? Un patron qui invite ses salariées pour renforcer la cohésion de l’entreprise ?
    
    — Oh, vous êtes très élégante ! Vous cherchez à me séduire ? Je ne mange pas de ce pain-là !
    
    L’enfoiré rit de sa ...
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