1. Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 02


    Datte: 01/06/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bycinolas, Source: Literotica

    ... m'entourent pour mieux profiter du spectacle. Je constate alors seulement que le patron s'est arrêté, sa bite à mi-course dans mon vagin et qu'il m'observe la mine épanouie, son mégot allant d'un coin à l'autre de sa bouche.
    
    Ils sont tous là, figés, suspendus à mes lèvres, même si celles-ci ne parlent pas, jubilant de ma jouissance, savourant mes expressions, observant mes réactions, délivré d'une frustration en me voyant enfin prendre mon pied.
    
    Mon bassin s'active tout seul et délivre des petits coups vers sa bite. Il donne l'impression que ma chatte veut attraper quelques centimètres supplémentaires de sa queue. Une chaleur m'envahit à nouveau mais de honte celle-là. Aucune position ne me permet de me soustraire à leurs regards. Il reprend son pistonnage et finit, après encore un long moment, d'un grand coup rein. La table en fait une embardée retenue par les spectateurs qui l'entourent.
    
    Après « l'exploit » du patron, je retrouve ma table, les jambes flageolantes, où les 8 capotes, disposées en ordre, entourent ma chope de bière vide. A leurs vu j'ai un fugace sentiment de fierté, je n'avais jusque-là jamais dépassé 3 rapports dans une journée avec mes partenaires, cela suffisait à mon plaisir, et là ...
    
    Le patron arrive avec une paire de ciseaux et entreprend de couper chaque capote et de verser leur contenu dans le verre.
    
    Un mélange de différentes teintes de blanc, aux épaisseurs variées, aux textures parfois grumeleuses s'accumulent dans le verre, la vue ...
    ... m'écœure.
    
    Il prend ensuite une paille, touille la mixture, lève le verre, contemple, scrute d'un œil expert et dit :
    
    - Pensez-vous qu'elle veut des glaçons la salope dans son cocktail?
    
    Rire général!
    
    L'idée de boire ce contenu m'affole, je déteste le sperme. J'ai autant d'aversion pour le sperme que j'aime sucer c'est pour dire! Déjà les doses de foutre de Paul ont nécessité de gros efforts pour les avaler sans rien vomir alors 8 décharges!
    
    - Vous ne trouvez pas qu'il manque un petit quelques chose à ce cocktail, je le trouve léger - affirme-t-il.
    
    - C'est toi l'expert - lui retourne un des clients - Tu as plus l'habitude de les préparer que nous, on te fait confiance sur les ingrédients.
    
    Il regarde le breuvage d'un œil connaisseur et dit d'un coup :
    
    - Ca y est j'ai trouvé - et il crache un énorme mollard dans la chope.
    
    Un nouveau coup de touillette mais le dosage ne semble par encore suffisant.
    
    Il tend le verre à son voisin qui l'imite et un nouveau glaviot de belle taille atterrit dans la chope. Et de main en main, le breuvage fait le tour des clients s'emplissant de quelques crachats supplémentaires.
    
    A son retour il en remet un petit dernier.
    
    - C'est la justesse du dosage qui fait toute la différence, sentez-moi ce fumet de couilles - précise-t-il en humant le contenu du verre.
    
    L'idée qu'il se soit préparé ce cocktail pour lui me traverse l'esprit un court instant, un acte manqué sûrement, le refus d'imaginer la suite, voir mon côté naïf ...