Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 02
Datte: 01/06/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bycinolas, Source: Literotica
... lavabo pour me refaire une beauté, reprends mes esprits et rejoins la table où Paul m'attend en sirotant sa bière.
- Alors comment s'est passé ta nouvelle fonction de salope?
Sans répondre je m'assoie, prends la bière et la vide d'un trait, ce qui me fait tourner la tête quelques instants.
Paul en profite pour en commander une autre.
- Alors vous avez bien trouvé les chiottes? - s'inquiète le patron en venant nous servir.
- Oui merci - répondis-je, une bouffée de chaleur m'envahit en voyant dans son regard qu'il sait ce que j'y avais fait.
15 mn après Paul me demande si je n'ai pas une petite envie d'aller aux toilettes, la bière peux parfois provoquer des besoins naturels. Il ne faut pas que je me retienne maintenant que je sais où elles se trouvent!
- Je ne pourrai pas le refaire Mr.
- Si, bien sur, tu as tous les accessoires pour être une bonne salope ce soir non?
J'enrage, je ne suis pas une salope et ne le serai jamais. Je retiens une folle envie de le gifler.
- Regardes, je crois que son collègue est jaloux de son copain, tu ne voudrais pas qu'il s'engueule à cause de toi quand même?
- Comme si mon 1er choix avait servi quelques chose - lui dis-je manquant dans mon ton du respect souhaité.
- Cela m'a permis de voir quelle était ton type d'homme, tu n'es pas si difficile que ça finalement! Dépêches toi il s'impatiente.
Je me lève et me rends en mode zombie au bar pour inviter l'autre paysan à m'accompagner aux cagoinces. J'invoque ...
... cette fois la noirceur de la cour comme excuse, sous le regard en coin et le sourire du patron.
Il m'y accompagne sans se faire prier, m'indiquant aux mieux les écueils du trajet. Les toilettes s'emplissent très vite à nouveau d'odeurs nauséabondes. Malgré mes efforts son sexe reste au plus bas, et l'idée de le sucer m'écœure mais la je n'ai plus de solution.
Je m'agenouille pour le prendre en bouche, une forte odeur d'urine me remplit rapidement la bouche provoquant une vive envie de vomir. Il ne se lave jamais à la campagne???
La capote enfin en place, je commence à me mettre en levrette, cette position me permet au moins de ne pas les voir. Mais il veut que je m'allonge le dos sur la cuvette. Rien ne me sera épargné. En relevant mes jambes pour me pénétrer il m'écrase les seins.
Il me pistonne avec lenteur, s'occupe de mes seins, les malaxes généreusement et m'offre de nombreuse pelles baveuses et avinées. J'ai beau essayer d'y échapper, il s'avère plus vif que son état me le laissait supposer et arrive très souvent à ses fins. Chacune d'elles suscite un début de nausée que j'ai de plus en plus de mal à contenir.
Il est plus endurant que son collègue et un râle de bête à l'agonie m'annonce la fin de mon calvaire. Alors que mon « amant » d'un soir va rejoindre son fief, le comptoir, d'une démarche fière et satisfaite de l'homme aux couilles vides, je m'agenouille devant la cuvette et me vide la boyasse.
Malgré un long rinçage de bouche, le goût du vin 3 ...