1. COLLECTION LIBERTINAGES. Les chambres d’hôtes. (2/2)


    Datte: 01/06/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... répulsion.
    
    Hélas dans l’état où je me trouve c’est avec avidité qu’elle s’ouvre et que la langue vient s’entourer à la mienne.
    
    Deux hommes s’occupent de moi et un petit coup d’œil sur le côté me montre Paul sa langue dans la bouche de la brune alors que la blonde est dans son dos elle aussi et que sa main plonge dans l’eau.
    
    À cette hauteur elle doit être posée sur la verge de mon homme sans qu’il ne réagisse.
    
    De mon côté moi aussi je sens une main sur mon intimité.
    
    C’est bizarre, des doigts pénètrent mon intimité mais le sens opposé les unes aux autres n’ont qu’une explication Florentin et André m’ont mis deux doigts chacun dans le vagin.
    
    Je me tords de plaisir et c’est sans m’en rendre compte que je sors de l’eau pour qu’ils viennent m’allonger sur un des matelas à leur disposition.
    
    Je raconte mal, ce doit être l’alcool dans le champagne.
    
    C’est Florentin le blond qui s’allonge sur nos transats.
    
    Il me tire à moi et en même temps qu’il m’embrasse, je sens qu’il me met son pieu dans ma chatte.
    
    Aussi bien qu’avec Paul derrière notre fenêtre tout à l’heure.
    
    Paul que je ne vois pas mais qui doit s’occuper des deux femmes dans notre piscine.
    
    C’est à ce moment que je sens sur mes arrières une autre verge qui cherche son chemin.
    
    Monsieur le curé au catéchisme et dans certains de ses sermons nous a parlé de Sodome et Gomorrhe.
    
    Ce pays de dépravés où tout leur était permis.
    
    Sodome, sodomie, il en a parlé sans nous expliquer, mais c’est ...
    ... plus tard qu’étant marié, en voyant un film à la télé que Paul m’a expliquée ce que je n’avais pas compris à l’église.
    
    Les habitants de ces villes étaient des dépravés qui se servaient aussi bien des chattes de leurs femmes que de leur rectum.
    
    Mieux informée, j’en avais déduit que tout au long de ma vie, mon cul ne serait qu’à moi.
    
    Ouf, je respecte ma volonté, je sens qu’André glisse sa verge dans mon vagin à côté de celle de son ami.
    
    Je quitte la bouche du premier pour en tournant la tête me donne à celle du deuxième.
    
    Je devrais apprendre plus tard que prise comme je le suis, ces deux garçons me font un double vaginal.
    
    Alors excuse-moi Paul, tu as brisé notre serment, je brise le mien.
    
    - Oui, oui, oui, ouiiiiii.
    
    Quand je reprends pied, j’écris six « i » dans ce « oui » alors qu’il y en a peut-être eu dix, vingt, cent.
    
    Mes oreilles retrouvant pourquoi le bon Dieu me les a donnés, j’entends que Paul et Clarisse la blonde eut aussi savent que le mot « oui » existe.
    
    À non, je dois me tromper, la voix à changer, c’est Odile qui à son tour émet ce « oui » le même que nous nous sommes échangés devant le maire et dans l’église de notre village.
    
    - Émily, c’est parfait, excuse-nous de t’avoir un peu brusquée, nous sentions avec Paul que vous étiez un couple ne s’assumant pas.
    
    Je ne serais pas étonné que vous fassiez partie du troupeau de ceux qui ont été intoxiqués par des mensonges en tous genres.
    
    Nous sommes des protéines sur la terre, comme tous ...