1. Brian est en Irak Ch. 05


    Datte: 31/05/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    Coulybaca / Vulgus
    
    Chapitre 5 : Où Kim rencontre ses voisins de palier
    
    Finalement j'arrivais à mon appartement et je garais ma voiture.
    
    Je jetais un coup d'œil circulaire, par chance personne ne se trouvait dehors, il était tard et les gens travaillaient le lendemain.
    
    Je respirais profondément puis je sortis de voiture et me précipitais chez moi.
    
    Je montais à mon étage en m'appuyant lourdement sur la rampe, une fois à mon étage je chancelais jusqu'à la porte de mon chez moi.
    
    Dès entré, je me ruais dans ma salle de bain et je remplis la baignoire d'eau brûlante.
    
    Puis je gagnais la cuisine et me servit un grand verre de rhum coca, avec plus de rhum que de coca.
    
    Je retournais dans la salle de bain où j'ôtais ma tenue de salope.
    
    Je me regardais dans le miroir et réalisais que mes nichons étaient couverts de bleus.
    
    Je me tournais, mes fesses aussi étaient couverts de bleus, j'empoignais un petit miroir et inspectais ma chatoune je me figurais qu'elle aussi devait être totalement déformée.
    
    En fait elle était rouge vif et fort enflée mais il n'y avait pas de signes d'autres dégâts.
    
    Je fermais le robinet et me glissais dans ma baignoire, dès que je fus assise de l'eau jusqu'au coup, je pensais :
    
    - "Merde alors, j'ai totalement oublié de prendre de l'aspirine! ..... Je ne vais pas encore me relever! ....."
    
    Je comptais sur le rhum pour estomper ma douleur! .... Je vidais mon verre que j'avais posé sur le rebord de la baignoire réalisant que ...
    ... j'avais été stupide de ne pas emmener les deux bouteilles.
    
    Je m'étendais une fois mon verre vidé, laissais ma tête reposer en arrière et fermais les yeux.
    
    Je cherchais désespérément à me vider l'esprit.
    
    A ne pas penser à ce qui m'était arrivé et à ne pas penser à ce qu'ils mijotaient de me faire endurer le week-end prochain.
    
    Je n'y parvenais pas, je ne pouvais m'empêcher de rabacher ces moments douloureux quant à l'avenir, il me terrifiait.
    
    Chaque fois que je rejoignais ce pervers les choses empiraient, peut-ête était-il temps de les laisser lui et ses menaces.
    
    Cela avait-il un sens de maintenir mes tourments secrets si je risquais d'en mourir? .....
    
    Je demeurais assise dans mon bain jusqu'à l'instant ou l'eau devint froide pour y rester, je me rinçais alors me séchais et regagnais la cuisine.
    
    Je pris deux cachets d'aspirine et me servit un autre rhum-coca
    
    Je l'emmenais avec moi jusqu'à mon lit, réglais la sonnerie du réveil et m'assit dans le lit les yeux fixés dans le vide le temps de vider mon verre.
    
    Lorsque ce fut fait, je me laissais tomber sur le dos et m'endormit ou m'évanouit sur le champ.
    
    J'entendis sonner le réveil au petit matin, après qu'il eut vibré pendant 10 bonnes minutes, je m'assis dans mon lit et pris conscience de toutes mes douleurs.
    
    J'avais mal à l'estomac, ma chagatte était en feu, et mon trou du cul embrasé.
    
    Je me rendais dans la cuisine, pris deux nouveaux cachets d'aspirine et partis prendre une douche bien ...
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