1. Amour africain


    Datte: 31/05/2018, Catégories: fplusag, couleurs, extracon, Collègues / Travail fsoumise, confession, Auteur: Patricia Cammarena, Source: Revebebe

    ... ma bouche, et le contraste entre nos deux peaux me rend folle, mais j’en veux plus.
    
    Je me relève, retrousse ma jupe de cuir ouvre totalement mon chemisier, me positionne en levrette, sur la pointe des pieds, sur le bord de son bureau. Il accepte l’offrande de cette femme blanche de vingt ans son aînée et commence à me pénétrer. Je sens son sexe me remplir comme jamais je ne l’ai été.
    
    Je le sens au fond de ma caverne, ma respiration devient de plus en plus saccadée, je sens le plaisir monter en moi pendant qu’il pétrit mes seins avec ses énormes mains noires.
    
    Puis il entame les va-et-vient en moi, claquant son bassin sur ma croupe qui lui appartient ce soir. Puis il accélère le rythme encore et encore, je jouis intensément, je hurle mon bonheur dans les locaux de mon entreprise sans retenue. Je suis au septième ciel, ce jeune homme de 21 ans me baise comme un dieu, jamais je n’ai ressenti ce plaisir. Je lui appartiens, je le regarde dans les yeux tout au long de nos ébats. À ce moment précis, seul son plaisir compte, je veux qu’il me trouve bonne à baiser, qu’il soit accro à moi, qu’il veuille faire de moi sa femme blanche pour satisfaire ses instincts primaires.
    
    Il m’allonge sur son bureau, sur le dos, et empoigne mes chevilles et me fait l’amour à couilles rabattues. À chaque fois qu’il sort son sexe de mon con, je ressens un grand vide, qu’il comble immédiatement en revenant dans ma caverne, entièrement mouillée de désir. C’est sauvage, intense, sensuel, le ...
    ... contraste est saisissant, moi qui suis blonde et pâle de peau alors que lui est noir de jais. Mes escarpins virevoltent dans le bureau sous l’effet de ses coups de reins. Je ne me retiens plus du tout et me moque de savoir si l’on peut nous surprendre ou m’entendre jouir.
    
    Puis il se redresse et me prend debout. Je suis à sa merci, il me baise sans aucun ménagement, ses couilles claquent sur mon cul, je suis trempée de sueur, mes seins sont durs comme du béton et je suis au paradis. C’est une évidence l’homme noir est plus compétent que l’homme blanc quand il s’agit de satisfaire une femme. Je l’embrasse à pleine bouche, nos langues dansant au rythme de ses coups de boutoir donnés à mon corps qui n’a connu qu’un homme en plus de vingt ans.
    
    Puis, au bout de trente minutes, il décharge sa sève en moi, chaude et abondante et je me rends compte que, dans la chaleur du moment, aveuglée par mon désir pour cet homme noir, nous n’avons pas mis de préservatif. Mais c’est trop bon et cette pensée est chassée par le bonheur de cette partie de jambes en l’air extraordinaire. Je nettoie son sexe et les dernières gouttes de semence chaude qui y sont encore. Je me délecte de son jus si épais et plein de goût, tout en le masturbant tendrement, ma main caressant les veines passant sur sa verge noire.
    
    Je reprends mes esprits et lui dis que je veux que l’on se revoie, en dehors du boulot, ce qu’il accepte.
    
    J’ai désormais un amant, pour la première fois de ma vie, et peut-être un bébé ...