Mon amie Alexandra
Datte: 31/05/2018,
Catégories:
Anal
Lesbienne
Première fois
Auteur: sophie67000, Source: xHamster
Je prends note des remarques de mes lecteurs.
Peut-être que cette histoire va décevoir certains.
Quoi qu’il en soit, je reste ouvert à la critique et à la discussion.
N’hésitez pas à me noter, à me commenter et même à me contacter.
Bonne lecture à tous…
Je venais d’embrasser Cédric mon copain à pleine bouche pour la première fois depuis une éternité environ deux semaines.
J’avais fait ça machinalement, la tête toujours dans cette petite salle de danse.
Je n’avais pas réalisé immédiatement que Cédric allait goûter au foutre de ce mâle en rut.
Sur le coup, j’en éprouvais de la gêne, de la honte même, puis, je me suis souvenue pourquoi j’avais fait ça ; premièrement, pour moi, deuxièmement, pour le punir…
Je pensais qu’il allait exploser sur moi… Mais il n’a rien dit. Il s’est contenté de me regarder d’un air idiot, se passant la langue sur les lèvres.
Mal à l’aise, je me suis enfermée dans la salle de bain pour me laver et accessoirement, me caresser… J’avais envie de recommencer, jouer avec l’interdit, le feu, je trouvais ça excitant… Mais j’avais peur qu’il me quitte, j’étais amoureuse de ce garçon, et lui de moi. Pourtant, le désir était plus fort que tout.
La tête en arrière sous le pommeau de douche, je réalisais que ma bouche goûtait quand même fort le sperme… Cédric devait avoir bien compris de quoi il était question, mais il n’a pas lâché le moindre mot. Eh bien, mon chéri, je vais encore devoir te punir, pensais-je.
Nous avons ...
... mangé rapidement, débarrassé, puis il s’est levé et m’a rappelé qu’il devait partir quelques jours chez un de ses potes, puisqu’il avait trouvé un stage d’observation dans une classe de français dans un lycée d’une autre ville. Ouh là ! … Ça voulait dire que j’allais me retrouver seule presqu’une semaine… ? Des pensées plus perverses les unes que les autres se mélangeaient dans ma petite tête…
J’allais le laisser seul, une semaine. Merde, je venais de comprendre (même si je ne pouvais m’y résoudre), qu'il était cocu;
N’importe quelle fille aurait pétée un plomb, mais pas moi. J’étais plutôt de genre à éviter les conflits. Je n’ai rien dit. D’un côté, j’étais mortifiée, de l’autre, passablement excitée. Á dire vrai, ça me rendait chaude de savoir qu’il pouvait me faire cocue... Mais d’un autre côté…
Oh, je sais, ça peut sembler stupide de m'avoir laissée me faire défoncer par deux gros types pervers, en même temps, chez nous, dans notre lit et puis de jouer au jaloux.
Mais là, tout ce dont je m’étais plaint qu'il allait à reculons côté sexe me revenait comme un boomerang en plein front. Je sentais qu’il y avait un prix à payer, si je voulais me voir devenir plus, comme dire… Plus espiègle, coquine, perverse, salope, cochonne…
Je n’avais pas la moindre idée de, où mes écarts allaient me mener, mais je sentais que je devais faire ces choses-là. J’avais envie qu’il me parle, mais ça aurait voulu dire que je devais arrêter ma « progression ».
J’étais entrée dans un ...