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La guerre des deux frères - Partie 08
Datte: 30/05/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byAgentChelateur, Source: Literotica
... mois... mais si tu échoues, tu ne vivras pas un jour de plus. - Mais si je réussis, je veux plus de responsabilités dans notre organisation. - C'est-à-dire? - Attendons de voir la conclusion de tout ça et je te le dirais. CHAPITRE 5 Pour la première fois, Aurélie essayait la robe qu'elle devait porter le jour de son mariage. Cela faisait déjà un mois que les préparatifs de ce grand événement battaient leur plein et l'effervescence régnait dans la maison des Uron. - Magnifique, estima la couturière en ajustant la robe. Il fallait dire que la famille Uron qui finançait le mariage ne lésinait pas sur les moyens et que cette robe en dentelle blanche à épaule était une authentique merveille. La future mariée se retourna afin de d'observer dans un miroir et commença à s'imaginer avançant ainsi vêtue dans l'allée de l'église sous les regards admiratifs et envieux de tous les invités. Malheureusement, cette idée ne lui procura aucun plaisir tant la famille qu'elle devait rejoindre la dégoûtait. Une porte s'ouvrit et Gustav Uron entra sans prévenir. Les quatre personnes présentes se tournèrent dans sa direction et un ange au visage plein de terreur passa. - Dehors! Tonna le patriarche de la famille. Comme des agneaux affolés par l'arrivée d'un loup, les trois employés présents se ruèrent vers la sortie. Quand Gustav Uron donnait un ordre, la seule expectative était de s'y plier au plus vite. Consciente qu'elle ne pouvait être concernée par cette décision, ...
... Aurélie resta figée devant le miroir. Uron se déplaça et elle comprit qu'il détaillait sa robe. - Elle est belle, n'est-ce-pas? Demanda-t-elle dans l'espoir de mettre fin à ce silence qui lui glaçait le sang. - Elle est affreuse, lui rétorqua le patriarche. Ce qui confirme ton manque de goût. Aurélie eut un rictus mais elle ne pouvait pas dire que cette remarque la surprenait tant Gustav Uron avait pris l'habitude de la rabaisser à la moindre occasion. - Moi je la trouve superbe, se défendit-elle surtout pour le plaisir de s'affirmer. - Mais ton avis tout le monde s'en fout, répondit-il sur un ton sec qui ne la rassura pas. Elle sentit l'homme d'affaire s'approcher d'elle et elle se força à ne pas bouger. Depuis un mois, elle avait cessé de compter le nombre de fois où cet immonde pervers avait abusé de son corps et savait qu'elle ne pouvait rien faire pour l'en empêcher. Après son premier viol, elle avait tenté d'obtenir le soutien de son frère mais ce dernier était resté sourd à toutes ses suppliques en invoquant le devenir de toute la famille. En clair, il ne lui laissait pas d'autre choix que de se sacrifier. - Le respect, Aurélie, déclara-t-il en se collant à elle. Je t'ai déjà dit que tu devais apprendre à respecter ceux qui t'étaient supérieurs. A ce moment, elle sentit qu'il faisait glisser un objet plat et froid le long de ses reins et comprit tout de suite de quoi il s'agissait. La première fois qu'Uron avait utilisé ce paddle, petite pagaie ...