1. Kentin 9 Souffrir mieux que ça


    Datte: 30/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Kentin, Source: Hds

    ... sa bouche s’est posée au creux de mes reins, j’ai frissonné de plaisir.
    
    - Tu as froid?
    
    - Corinne j’ai envie de toi. J’ en ai envie à en crever.
    
    - Je sais Doudou. Ne dis rien. Je vais m’occuper de toi .
    
    Elle s’est redressée sur ses genoux calés entre mes jambes et a lentement baissé mon caleçon sous mes fesses.
    
    - Qu’est-ce que ?...
    
    - Laisse-moi faire chéri.
    
    Puis ses cheveux ont balayé mon derrière avant que sa bouche n’entame une ronde infernale sur mes globes. Je me cambrais au maximum relevant légèrement mes cuisses en prenant appui sur mes genoux pour profiter pleinement de ses attouchements sensuels. Elle a réussi à passer ses mains sous mon ventre pour se saisir de mon membre encagé et de mes couilles.
    
    - Comment tu fais Didou ? Pour te soulager ? Réponds-moi.
    
    - Tu le sais Corinne.
    
    - Dis le moi quand même mon cœur.
    
    - Je me branle.
    
    J’avais honte de mes paroles.
    
    - En pensant à moi. ? Ou à lui avec moi? Quand tu viens me nettoyer de ta langue, je deviens folle et toi aussi.
    
    De nouveau collée contre moi, elle s’est mise à onduler, frottant son vagin entre-ouvert contre mes fesses. Elle mouillait beaucoup et soupirait de bonheur. Son savoir-faire était diabolique. Je devenais fou d’envie.
    
    - C’est bon. Je me caresse contre tes petites fesses mon chéri. Elles sont douces. Ne bouge pas. Laisse-moi faire.
    
    Un drôle de sentiment s’emparait de moi. Moitié plaisir, moitié surprise, mélangé à un vague malaise. J’étais sous elle, son corps ...
    ... plaqué sur le mien. Je sentais sa fente se presser contre mes fesses humides de sa cyprine. J’avais l’impression bizarre qu’elle m’utilisait pour sa jouissance. C’était très troublant de s’abandonner de cette manière.
    
    Je gardais la pose, corps un peu relevé et cul tendu. Elle tenait toujours ma bite enfermée et mes couilles, mais sans rien faire. Comme si elle voulait m’immobiliser.
    
    Sa bouche contre mon oreille, ses seins plaqués contre mon dos, son pubis se frottant de plus en plus vite, de plus en plus fort.
    
    - Tu as des fesses douces Doudou. C’est bon. Cambre-toi un peu plus chéri que je puisse bien frotter mon bouton contre ton petit derrière. J’ai toujours trouvé ton petit cul attendrissant mon amour. Tu sens mon petit bouton?
    
    - Oui... un peu.
    
    - C’est comme un petit sexe d’homme Doudou.
    
    Elle me parlait tout doucement au creux de l’oreille, frottant de plus en plus fort son bas ventre contre mon cul. Je la laissais faire de plus en plus mal à l’aise par la tournure que prenait notre relation.
    
    - Tu as les fesses souples. Tu m’excite terriblement ! Essaye de te cambrer plus.
    
    J’ai obéi sans rien dire avec l’espoir qu’ensuite, nous allions enfin faire l’amour.
    
    - Tu me fais mouiller comme une folle dans cette position. Tu sais quand il me la met c’est comme un soleil. Ce n’est pas la même chose que ce que je faisais avec toi. Oui..... Ouiiiiii.. Tiens-toi bien cambré mon amour, je sens que je vais venir. Avec lui j’écarte complètement mes cuisses et ...