1. Un accident, une nuit (5)


    Datte: 29/05/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Bugsy, Source: Xstory

    ... lui.
    
    — Viens caresser mes seins... et joue de tes doigts avec les pointes... cela te fera un excellent exercice d’assouplissement.
    
    Avec ravissement, il pose une main sur son sein droit qu’il sent bien ferme sous ses doigts. Il le caresse longuement, l’enveloppant bien avec la paume de sa main, jusqu’à ce qu’il sente que la tension commence à monter en elle. Alors ses doigts viennent jouer avec les petites pointes qui roulent sous ses doigts, ne tardant pas à doubler de volume...
    
    — Oui... continue... ton autre main... l’autre sein...
    
    Il a bientôt une jolie poitrine pointée devant lui, offerte.
    
    — Approche-toi un peu plus.
    
    Elle se soulève un peu, jusqu’à ce que ses seins soient au contact de la bouche de Yann qui continue, des lèvres le travail de ses mains. En même temps, il vient poser la main qui est du côté où est Béatrice, sur ses cuisses. La blouse s’est légèrement remontée, il sent sous ses doigts la chair nue et frissonnante. Béatrice défait un ou deux boutons, que ses mains soient plus libres, qu’elles puissent bien s’aventurer vers son intimité... il caresse doucement le haut de ses cuisses, sent leur chaleur, devine son envie...
    
    Elle ne porte pas non plus de petite culotte, pas même un string... il sent bientôt l’humidité de ses lèvres intimes, sa cyprine qui commence à couler. Son majeur tendu sent rapidement sa fente toute chaude et humide, il s’insère entre ses lèvres, prend possession de son vagin. Elle se soulève encore un peu, avance son ...
    ... bassin, qu’il puisse mieux la pénétrer, elle le laisse aller et venir en elle, de plus en plus frissonnante, de plus en plus trempée...
    
    Mais elle s’éloigne bientôt...
    
    — Non... non, arrête... je t’en supplie... arrête, je vais jouir... et je suis trop... trop bruyante...
    
    L’envie de la faire jouir est vraiment très forte, mais il cesse lentement d’aller et venir en elle, la laisse se calmer, reprendre ses esprits.
    
    — J’aurais pourtant beaucoup aimé te faire jouir...
    
    — Oui... moi aussi, tu sais... j’aurais aimé jouir sous tes caresses. Mais pas ainsi, je ne veux pas ameuter tout le monde, je veux profiter pleinement de ces instants seuls avec toi. Mais je te promets que bientôt, tu pourras me faire jouir ! Mais par contre... tu m’as bien excitée, et maintenant, moi, je vais te faire jouir.
    
    Et il sent bientôt les douces lèvres de Béatrice qui emprisonnent son gland, sa langue qui descend tout du long de son sexe. Ses lèvres sont toujours aussi expertes, ses joues se creusent pour mieux le pomper, mieux le faire venir et il ne peut résister longtemps à un tel traitement. De longs jets viennent bientôt tapisser le palais de Béatrice. Elle avale tout son sperme avec un petit gloussement de plaisir et sa langue reste bien sur lui pour nettoyer tout son gland.
    
    Et puis sa bouche le quitte, elle rabat le drap sur lui.
    
    — J’aime ton odeur, j’aime ta fougue, j’aime ton sperme. Il me tarde de le sentir sur moi, sur mes seins, sur mon ventre. Et puis en moi aussi, je veux ...