1. Evolutions (19)


    Datte: 29/05/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Fantasmatique, Source: Xstory

    ÉVOLUTION
    
    Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.
    
    Chapitre 19 : Le serpent et la souris.
    
    Lorsque je me réveille, je me tourne immédiatement vers Alice pour la regarder dormir. Elle est en train d’émettre son petit ronronnement, ce qui me laisse penser qu’il est quotidien. Son corps est allongé dans la même position que les deux matins du week-end dernier, ce qui doit être également chez elle une habitude.
    
    Une dizaine de minutes se passent, avant que son corps ne soit pris d’une légère crispation. Sans en être certain, je pense alors que c’est dû au fait que mon petit bout de femme s’est réveillée, et qu’elle a lutté contre son besoin instinctif de resserrer les jambes, étant donné que ces dernières restent largement ouvertes pour continuer à exposer sa vulve à mon regard.
    
    Cette supposition m’est confirmée puisqu’elle ouvre ensuite les yeux, avant de tourner la tête vers moi pour me regarder, et me dire après avoir souri :
    
    — Bonjour mon Amour. Je dors bien chez toi. Parce que quand je suis à la maison je me réveille toujours de bonne heure, même lorsque les filles n’ont pas cours. Pendant les trois nuits que j’ai passées ici, pas une seule fois je ne t’ai entendu ronfler.
    
    Je lui réponds sur le ton de la plaisanterie :
    
    — Bonjour ma Chérie. J’en déduis que le matin où je me retrouverai seul dans mon lit, alors ...
    ... que nous nous étions endormis ensemble la veille, c’est parce que tu te seras réveillée avant moi, et que tu te seras enfuie à cause du bruit que je fais en dormant.
    
    Elle pivote alors son corps pour se retrouver complètement en face de moi, et tout en venant caresser tendrement ma joue, elle répond :
    
    — Lorsqu’on aime vraiment quelqu’un, ses défauts deviennent secondaires, et ils peuvent même nous émouvoir. Tu as bien accepté les miens, alors pourquoi est-ce que je n’en ferais pas autant.
    
    — Mais de quels défauts tu parles ? Je ne t’en ai encore trouvé aucun !
    
    — Eh bien, de mes gros nichons qui pendent pour commencer. Et puis aussi du fait que je rougis sans arrêt.
    
    — Alors ce doit être une question de point de vue. Parce que si tu pouvais les regarder avec mes yeux tes gros nichons, ils te feraient bander. Quant au fait que tu rougis souvent, je trouve cela également charmant.
    
    ₪₪₪
    
    Puis j’ajoute pour la taquiner un peu :
    
    — Mais peut-être que c’est une feinte. Pour arriver à faire croire aux gens que tu es faible, alors qu’en réalité, tu as une force de caractère peu commune.
    
    Cependant, elle ne se laisse pas prendre à mon jeu, puisqu’elle réplique :
    
    — Lorsque je me suis retrouvée seule avec mes deux filles, j’ai dû faire face à tout un tas de choses dont je ne m’étais jamais occupé avant, étant donné que c’était mon mari qui le faisait. Cela n’a pas été facile et parfois même très dur, puisque j’étais obligée de me retrouver en présence de personnes ...
«1234...»