1. Mon bonheur


    Datte: 29/05/2018, Catégories: fh, fplusag, extracon, alliance, Oral nopéné, mélo, amourcach, bellemere, Auteur: Léovent d'est, Source: Revebebe

    ... prendre un amant, mais tu la connais. Depuis que tu vis chez nous, je crois qu’elle prend conscience du manque d’amour qui existe dans sa vie et nos ébats viennent agrémenter ses fantasmes quand elle est trop seule.
    
    À partir de ces confessions, j’ai pris l’habitude de regarder plus souvent Elisabeth, disons avec un œil moins « gendre » mais plus « homme ». Avec ses 45 ans, son 1m63, une poitrine que j’estime à un petit 85b, je découvrais une femme toujours très soignée, habillée avec raffinement, parfois d’une pointe de coquetterie sexy. Comme par exemple ce tailleur avec jupe fendue, mais pas trop, un chemisier assorti fermé avec juste le bouton de trop et sans doute une paire de bas. Le genre de femme mature sur laquelle les hommes pourraient facilement fantasmer. Moi entre autres…
    
    Un soir où nous étions tous les deux seuls à discuter après le repas sur la terrasse, je me risquai à un compliment.
    
    — Elisabeth, vous êtes très en beauté ce soir.
    — Merci Maxime… Vos compliments me vont droit au cœur, car j’en entends si peu souvent. Roger vous savez est avare en ce domaine.
    — Quel dommage, car vous êtes comme toujours charmante, et votre mari devrait vous le dire. Vous avez plus de charme que bien des jeunes femmes que je connais. Hormis votre fille bien sûr.
    — Voyons Maxime, je vais rougir…
    
    Et moi de poursuivre :
    
    — Ne soyez pas timide, ni gênée Elisabeth, c’est une réalité, parfois je vous trouve même très… désirable… Pardon… Enfin, je veux dire…
    
    Je ne ...
    ... savais plus comment finir ma phrase.
    
    — Oh, dites donc, est-ce bien vous Maxime, le futur époux de ma fille, qui tient ce genre de propos, c’est parfaitement déplacé.
    
    Puis dans un souffle :
    
    — Même si c’est très très plaisant à entendre.
    
    Peut-être avais-je ce soir-là bu un verre de vin en trop, toujours est-il que je continuai :
    
    — Et bien oui, c’est juste un constat, regardez ce soir, un bouton de votre chemisier ouvert en plus et je contemplerais avec délice un décolleté que je devine très attirant. Je vois même vos petits seins libres sous le tissu, prêts à être cueillis.
    — Arrêtez, je vous en prie.
    
    Le trouble s’installait, je la sentais fragile et je poursuivis :
    
    — D’ailleurs que pourrais-je découvrir aussi sous votre jupe fendue, une femme bien sage ? Non. Je distingue vos bas et s’ils sont là c’est pour vous rappeler votre parfaite féminité, votre désir de plaire et à qui ? Votre mari ne vous regarde plus, me semble-t-il. Alors que moi, je suis là dans votre maison, donc cette tenue c’est un peu pour moi non ?
    — Maxime, Arrêtez, dit-elle la voix tremblante.
    
    Et avant que je puisse réagir, Elisabeth, d’un bond, quitta la terrasse. À cet instant, je sais, oui, je viens de mettre à jour ma future belle-mère. Aujourd’hui, elle aussi me regarde comme un amant potentiel.
    
    À mon tour, je regagne la maison et notre chambre. Là, Isabelle m’attend sagement endormie, semble-t-il. Après m’être déshabillé et avoir éteint la lumière, je me suis glissé dans le ...