De douleur en plaisirS 1
Datte: 29/05/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Sexe Interracial
Auteur: charime, Source: xHamster
... visage sur vos tableaux ?
- Oui, pourquoi ?
- Parce que j’ai la nette impression que c’est aussi vous, cette femme qui subit tous ces supplices, avant de peindre ces scènes, je me trompe ?
- Non, c’est bien moi. Vous savez, depuis quelques années, je me rends régulièrement au Japon. Je ne vais pas que peindre, graver ou dessiner, j’y vais surtout parce que j’adore leur SM.
- Je vois ça. Souffrir ne vous fait donc pas peur ?
- Qui vous parle d’avoir mal ? Non, la douleur, celle que je recherche, elle fait partie intégrante de l’orgasme. C’est le subtil mélange entre douleur et plaisir qui fait de moi ce que je suis.
Pendant toute la durée du repas, elle me parle, me décrit ses séjours au Japon, la rencontre avec un Maître du Shibari et grand connaisseur des supplices médiévaux de son pays. Elle m’intrigue d’autant qu’elle commence sérieusement à me plaire. Si ce n’est pas encore physiquement, c’est plus par sa manière de voir le sexe autrement que dans la position du missionnaire ou de la levrette dans le noir. Cependant, elle met un point d’honneur à me dire qu’elle n'a été baisée qu’à trois reprises par ce Maître lors de séance particulièrement jouissives. Puis, peut-être gêner par son franc parlé, je détourne la conversation sur mes estampes du 16ième. Je lui parle de nos démarches pour les faire authentifier, comment le Japon avait voulu les récupérer avant de définitivement nous les abandonner suite à des documents trouvés dans leurs archives. Elle est ...
... terriblement emballée et ne cesse de me demander pour venir les admirer au plus vite. J’avoue que l’idée n’est pas pour me déplaire. Pourtant, je refuse dans un premier temps, argumentant mon refus par l’état de propreté de mon appartement. Cela la fait rire aux éclats, un rire un brin moqueur sur les hommes et le ménage. J’avoue que je ne peux lui donner tort. Je reviens sur mes estampes, les décrivant comme érotiques, on y voit une femme prise par un ou deux hommes sur les deux premières et faisant l’amour avec une autre femme sur la troisième. Elle semblait d’autant plus excitée qu’elle insiste encore pour passer les voir.
Après un dernier verre, il n’est pas loin de minuit, nous sommes retournés à la galerie qui était fermée. C’est par l’entrée de l’immeuble voisin, elle nous fait entrer par la porte de service. Là, elle allume toutes les lumières. Tableau après tableau, elle me fait le récit des circonstances de l’œuvre, de ses plaisirs, de ses douleurs, de tout ce qu’elle a ressenti en étant suppliciée par ce Maître en question. J’avoue que dans mon pantalon, ce n’est pas pire que la description d’un supplice que ma guide a subi. Le jour va se lever, nous buvons un café dans une sorte de bureau quand elle tombe sur mon chèque.
- Écoutez, Alain. Vous êtes le premier à vous montrer aussi intéressé par la genèse de chacune de mes œuvres. Si je me réfère à votre liste, il y a une petite dizaine de mes œuvres qui vous plaisent plus particulièrement. Je vous propose un ...