1. Regrets


    Datte: 29/05/2018, Catégories: fh, inconnu, nympho, boitenuit, danser, jalousie, noculotte, Oral pénétratio, mélo, prememois, occasion, Auteur: Passerose, Source: Revebebe

    ... réclamons une autre coupe. Marie sur son nuage ingurgite les bulles :
    
    — C’est fameux et ça descend comme de l’eau. Je t’aime mon Alex.
    
    Quelques danses plus tard, quelques coupes plus loin, un jeune homme s’incline devant Marie. Elle me regarde, je lui fais signe d’accompagner ce brave garçon :
    
    — L’amour n’est pas une prison. Va, amuse-toi.
    
    De l’autre côté une main se pose sur mon épaule. C’est Yolande, la rousse délurée.
    
    — Viens me faire danser, ne reste pas là à surveiller ta belle. Ne sois pas jaloux, il te la rendra. Je lui ai envoyé un bon copain, il a mission de l’entretenir et de la distraire.
    
    Sous l’orchestre elle me tire vers une porte latérale. Que veut-elle me montrer, sa voiture ? Sur le parking, entre deux véhicules elle va droit au but, une main sur le zip de ma braguette :
    
    — Mon pauvre Alex, je vois que tu souffres et je sais que Marie est sage. Veux-tu de mon aide ?
    
    Elle termine sa phrase accroupie devant moi, écarte l’obstacle, dégaine mon sabre. Elle pousse un cri d’admiration, m’empoigne, me promène devant ses yeux, envoie quelques coups de langue.
    
    — Alors, je te soulage ? Tu veux ?
    
    En réponse je pose une main sur sa chevelure rousse pour acquiescer. Sa bouche se pose sur mon gland, elle suçote la pointe du nœud, m’aspire au chaud, m’enveloppe de salive et elle fait tournoyer sa langue tout le long de la partie immergée. Yolande est une artiste du pipeau. Elle me fait coulisser, mordille la tige, se goinfre de ma chair, suce ...
    ... joues creusées et à ce jeu elle a vite fait de me mettre le feu. Marie saurait-elle m’enflammer comme elle ? Je tente de me retirer quand du fond de mes couilles part le frémissement annonciateur de l’éclatement. Des deux mains, l’une plantée autour de mon scrotum, l’autre serrée à la base de cette queue qu’elle dit adorer elle me maintient dans le four suceur. Je viens, je pars, j’envoie de longues et lourdes giclées de sperme. Elle continue à sucer, avale tout jusqu’à la dernière goutte, se redresse en essuyant d’un revers de main d’hypothétiques bavures :
    
    — Ton sperme est délicieux. Je te laisserai mon téléphone. En cas de besoin, appelle-moi si tu as apprécié. Écoute encore ceci. Si je te vois encore bander contre ta copine, ce n’est pas décent, je lui enverrai un autre cavalier. Déclare-lui que tu vas en profiter pour aller fumer une cigarette. Je t’attendrai ici pour une pipe ou plus si tu veux. Tâte là, je n’ai pas de culotte et je serai prête à te vider les réservoirs. Tu choisiras ton supplice.
    
    Elle me plaque un smack et s’enfuit en courant. Je fume ma cigarette tranquillement. Cette femelle est enragée, je n’en ferais pas ma femme. Mais, bon dieu, je me sens plus léger et je vais pouvoir affronter les prochaines danses avec Marie sans crainte de la choquer grâce à cette thérapie efficace. Je retrouve Marie sagement assise à sa place. Je lui manque. Ce cavalier ne me vaut pas. Elle ne dansera plus qu’avec moi. Elle se sent si bien dans mes bras. Je proteste, par ...
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