Double livraison
Datte: 28/05/2018,
Catégories:
fhh,
extracon,
inconnu,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
Humour
occasion,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... faire confiance… vous pouvez y aller sans capote…
— Vous voulez qu’on vous… euh…
— Oui, je veux qu’on me baise, si c’est ce verbe que vous vouliez utiliser.
— La totale ?
— Vous voulez dire quoi par « la totale ?
— Ben oui… pénétration et éjaculation…
— Oui, la totale…
Les deux hommes se regardent, puis Lino me demande :
— Juste un dernier petit point de détail…
— Oui, je vous écoute…
— Y a pas de caméra cachée ?
Je m’esclaffe joyeusement :
— Non, non, il n’y a pas de caméra cachée. Promis !
— Et… pourquoi nous ?
Égayée, je fais remarquer à mon interlocuteur :
— Ça fait deux petits points de détail, Lino…
— Vous chipotez… J’aimerais savoir pourquoi nous, aujourd’hui… Vous avez l’habitude de faire ça avec des inconnus ?
— Non, pas du tout. Je dirai même que c’est ma première fois.
Haussant des sourcils, Lino s’en étonne :
— Votre première fois ? Ah bon ?
— Eh oui… il faut bien une première fois, non ? Et pourquoi vous-deux ? Peut-être le double choix avec un mature et un jeune, le contraste des générations et des physiques… À vrai dire, je ne sais pas trop… et puis, il y a eu les circonstances…
— Bref, avec le robinet, Stephen a bien fait de rater son coup !
— J’espère qu’il ne le ratera plus à présent !
Lino rigole un bon coup, son collègue le suit. Quant à moi, je souris. C’est à nouveau le plus âgé qui prend la parole, prenant carrément en main son service trois-pièces :
— Eh bien, nous allons nous faire un plaisir de vous ...
... démontrer que nous sommes des bons coups !
— Je ne demande que ça…
— On peut aller jusqu’où ?
J’incline un peu la tête sur le côté :
— Oh c’est simple : tant que je ne dis pas non, c’est que c’est oui. Mais si je dis non, c’est non.
— Ça me convient parfaitement. Nous allons nous employer à faire en sorte que vous n’allez pas regretter votre première fois.
— Je ne demande que ça…
L’instant d’après, les deux hommes s’occupent à nouveau de moi, et je sens nettement que nous avons monté d’un crantage dans le stupre et la débauche. Peu après, je me retrouve avec une belle bite en bouche, celle du jeunot, tandis qu’une langue agile plus âgée s’occupe de moi plus bas.
Ce double jeu de langue me convient parfaitement : j’adore les cunis, et je ne déteste pas goûter le bon bâton des hommes. Je redécouvre la saveur des jeunes carottes, de ces verges insolentes qui pensent que le monde et les femmes sont à elles. Et il faut reconnaître que Stephen n’est pas mal monté de sa personne : une bonne longueur mais pas trop, et un bon diamètre mais pas trop non plus. Je parie que ça doit être un plaisir de la sentir coulisser dans une chatte, la mienne surtout !
C’est d’ailleurs ce que j’ai envie de connaître et de tester tout de suite. Je ne vais pas attendre qu’il me propose la botte, je vais directement lui indiquer le chemin à suivre. Pour commencer, j’ôte sa verge de ma bouche pour pouvoir lui proposer :
— Et si on changeait d’orifice ?
— D’orifice ?
— Oui, d’orifice, de ...