1. Double livraison


    Datte: 28/05/2018, Catégories: fhh, extracon, inconnu, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, Humour occasion, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... tard, je suis copieusement trempée. Encore heureux que nous soyons encore en été et qu’il fasse chaud ! Je dédramatise la situation :
    — Ce n’est que de l’eau, ce n’est pas grave !
    
    Je sens alors comme une atmosphère un peu curieuse : les deux livreurs me regardent étrangement, comme figés. Je m’en étonne ! Pourquoi ils me regardent comme ça ? J’ai un truc sur le visage ou quoi ?
    
    Soudain, je réalise qu’ils bandent tous les deux, ce qui n’est pas trop compliqué à deviner, leurs pantalons étant assez fins. Je ne déteste pas faire envie, je ne suis pas une femme pour rien, et quand j’étais étudiante, j’ai eu une vie assez agitée. Je crois même que j’ai dû explorer et expérimenter plein de choses pas très racontables !
    
    Ceci dit, deux livreurs qui bandent comme des ânes parce que j’ai reçu un peu d’eau, là, je ne comprends plus rien ; franchement, il n’y a pas de quoi fouetter un chat, même si ceux-ci n’aiment pas être mouillés. Néanmoins, je suis flattée que je puisse entraîner une telle réaction chez un homme, ou plutôt deux.
    
    C’est alors que je jette un coup d’œil sur le miroir collé contre la porte de ma petite armoire.
    
    Je suis trempée de la tête aux pieds, et ma robe blanche est devenue à la fois transparente et moulante, ce qui ne cache rien de mon anatomie, sachant que je n’ai pas mis de soutien-gorge pour cause de menus seins, et que ma petite culotte blanche, elle aussi trempée, ne cache pas grand-chose non plus.
    
    Je comprends mieux l’émoi de mes deux ...
    ... livreurs, car c’est particulièrement érotique. Vêtue de la sorte, je suis plus indécente ainsi que toute nue, c’est dire ! Il faut que je réagisse :
    
    — Ah merde, je ne peux pas rester comme ça ! De plus, l’eau était plutôt froide…
    
    Le jeunot sort de sa torpeur hébétée :
    
    — Désolé, désolé…
    
    Passant devant lui pour me diriger vers les peignoirs et les serviettes, je le rassure :
    
    — Pas grave, c’était un accident involontaire !
    
    Puis sans trop réfléchir, j’ôte précipitamment ma robe mouillée pour me retrouver seins nus devant deux hommes qui n’en perdent pas une miette. Puis, sans trop me préoccuper de leurs présences masculines, j’attrape une serviette pour me sécher, Tandis que je me frotte, amusée par leurs grands yeux ouverts et fixés sur ma personne, je demande faussement innocemment :
    
    — Vous n’avez jamais vu de femme ?
    — Si… si… mais ça surprend… répond le plus âgé.
    — Je suis faite comme les autres femmes, pourtant…
    — Vous êtes mieux que la plupart des autres femmes, nettement…
    — C’est flatteur, merci…
    
    L’aîné me semble très fébrile. Quant à son acolyte, il est largué, totalement à l’ouest. Même si la situation est un peu incongrue, je continue à m’essuyer sous leurs yeux, frottant un peu plus que de raison mes seins qui ballottent sous mes mains et le tissu. Ce sont sans doute mes années un peu folles qui remontent à la surface, et à cette époque-là, croyez-moi, je n’avais pas froid, ni aux yeux, ni à la chatte !
    
    Une fois de plus, c’est le plus mature ...
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