1. Linda, la fille a Marie


    Datte: 28/05/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: mr-courage, Source: xHamster

    ... l’embrassant, je me mis à lui caresser un de ses merveilleux seins, si fermes et si soyeux. Je la sentis qui frissonna au contact de ma main sur son sein. Elle aimait être caressée à cet endroit. J’éloignai légèrement ma tête de son visage pour mieux la regarder prendre du plaisir à mes caresses. Je me mis à caresser les deux seins à la fois, en m’occupant en priorité de ses tétons qu’elle avait tellement sensibles, qu’au moindre toucher, elle poussait un petit gémissement de contentement.
    
    Elle avait fermé les yeux et était entrée en elle pour savourer son plaisir. Elle avait sur les lèvres un sourire de bonheur qui me rendit moi aussi très heureux. J’étais heureux de rendre heureuse ma belle sauvageonne. Un moment, je retirai une de mes mains de sa poitrine pour commencer à lui caresser son ventre plat et surtout son bas ventre et son pubis, à travers le tissu de la petite culotte. Elle ouvrit un instant les yeux, regarda ma main qui cherchait à pénétrer à l’intérieur de l’élastique de sa culotte, eut un sourire de béatitude et les referma pour se mettre à l’écoute de ses sens.
    
    Ma main pénétra à l’intérieur de sa culotte et se mit à caresser son mont de vénus bombé, ferme et à la peau de soie. Il n’y avait aucune trace de poils. Elle avait dû s’épiler très soigneusement le matin même. Quelle sensation de douceur j’avais sous ma main ! Ma belle commençait à gémir de manière inconsciente. Elle écoutait ses sensations et les vivait pleinement. De temps en temps, elle ...
    ... prenait ma main restée sur son sein et l’obligeait à le caresser plus profondément. Elle n’avait pas peur que je lui fasse mal en palpant trop fort ses seins. Au contraire, c’était ce qu’elle voulait.
    
    Elle était maintenant sur le point de chavirer. Se gémissements se faisaient plus forts et plus sonores. Elle gigotait en bougeant son bas ventre comme pour m’inviter à pousser ma main plus bas et à aller à la recherche de sa chatte. Nous étions toujours debout devant le lit. J’arrêtai subitement de lui caresser la poitrine et retirai ma main de dessous sa culotte. Elle poussa un petit cri de réprobation qu’elle arrêta très vite, quand elle comprit ce que je voulais lui faire. Je me mis à genoux devant elle, mit deux doigts de part et d’autre de l’élastique de sa culotte et abaissai cette dernière jusqu’à ses pieds. Elle resta ainsi complètement nue, les cuisses encore serrées, mais laissant voir le début de renflement de sa chatte.
    
    En la poussant légèrement vers le lit, je lui fis comprendre que je voulais qu’elle s’asseye et qu’elle ouvre ses cuisses pour me laisser voir sa chatte et me laisser m’occuper d’elle. Elle ne se fit pas prier. Elle posa ses fesses sur le rebord du lit et s’allongea sur le dos, me présentant une merveilleuse chatte que l’on dirait dessinée par un artiste figuratif. Aucune trace de poils ; des grandes lèvres de couleur sombre, dodues et longues, se terminant par une petite ouverture en triangle.
    
    Je mis mes doigts pour caresser les grandes lèvres, ...
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