1. Linda, la fille a Marie


    Datte: 28/05/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: mr-courage, Source: xHamster

    ... mettant en valeur son teint clair et lumineux, ses immenses yeux bleus et une bouche qui était la réplique parfaite de celle de sa maman : sensuelle à faire bander un mort !
    
    Elle tenait beaucoup de choses de sa mère, mais c’était surtout la sensualité torride qu’elles dégageaient toutes les deux qui les unissaient. Sa blondeur naturelle, elle la tenait de son père, lui-même fils d’un kabyle des montagnes du Djurdjura et d’une paysanne bretonne, qu’il avait épousé après la deuxième guerre mondiale, alors qu’il travaillait comme homme à tout faire dans une ferme, pas très loin de Guingamp.
    
    Quand elle entra dans l’appartement, avant même que je l’invite à le faire, il se produisit comme un miracle : la maison toute entière en fut illuminée. Ce n’était certainement qu’une vue de mon esprit encore endormi, mais cela montrait à quel point sa beauté était lumineuse.
    
    - Bonjour, dit-elle, un sourire narquois sur les lèvres. J’espère que je ne t’ai pas réveillé.
    
    - Non, j’étais levé depuis longtemps, mentis-je effrontément.
    
    - Je sais bien que ce n’est pas vrai. Tu as tout de l’homme qui a mal dormi et qui a été réveillé en sursaut. Va prendre ta douche pendant que je nous prépare un petit déjeuner. Je suis moi-même à jeun.
    
    - ….. ? (Je ne sais pas quoi dire, bien que je voie qu’elle prenait ses aises et la direction des événements)
    
    Elle se débarrassa du long manteau qui couvrait tout son corps, du cou jusqu’aux chevilles, et je découvris, estomaqué, qu’elle ne ...
    ... portait en dessous qu’une petite robe, bleu-pétrole, faite dans un tissus en coton très fin, qui lui arrivait à mi-cuisses et qui mettait en valeur son superbe corps de vamp. La robe était tellement moulante qu’elle laissait voir les formes d’un corps parfait, tout en rondeurs bien placées et aux proportions idéales. Les souliers à hauts talons qu’elle portait l’agrandissaient, galbaient encore plus ses longues jambes, accentuaient les rondeurs de son fessier et l’obligeaient à redresser l’échine de manière à mettre en évidence sa superbe poitrine. Quelle beauté !
    
    Je quittai rapidement les lieux, les laissant à la disposition de la nouvelle fée du logis, et partit me débarbouiller. Je m’attardai dans la salle de bain, prenant une douche bien chaude, me rasant et me lavant les dents. Je m’aspergeai même d’une lotion après rasage que j’utilisai très rarement, tant le délicat parfum qu’elle dégageait était tenace et durait toute une journée. D’habitude je n’aimais pas trop me parfumer.
    
    Après avoir changé de tee-shirt et mis un pantalon de jogging propre, je rejoignis Linda dans la cuisine. Elle avait fini de préparer le petit déjeuner avec ce qu’elle avait trouvé dans le réfrigérateur et dans les placards. Elle l’avait posé, en m’attendant, sur la table qui trônait au milieu de la pièce. Elle était debout, me faisant face et me regardait de manière effrontée, droit dans les yeux.
    
    - Je crois qu’il ne manque rien pour le petit déjeuner. Je n’ai pas trouvé de croissants ; je les ...
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