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LA FEMME VOILEE
Datte: 28/05/2018, Catégories: Anal Première fois Hardcore, Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... grosse giclée de foutre, épais et brûlant. Elle alla directement au fond de sa gorge et a failli provoquer l’étouffement. Elle réussit à tout avaler avant que mon sexe ne crache trois ou quatre autres giclées qui restèrent celles-la dans sa bouche. Je sortis le membre radouci de sa bouche et la regarda s’escrimer avec le reste de sperme qu’elle s’efforçait vaillamment d’avaler, sans en perdre une seule goutte. En faisant cela elle posait sur moi un regard de satisfaction qui voulait dire « tu en as eu pour ton plaisir, salaud ! ». C’était le moment que choisit mon assistante pour pénétrer sans frapper dans le bureau. Farida eut un mouvement de recul et s’enfonça timidement dans le fauteuil pour y cacher sa honte d’être surprise dans une telle situation. Moi je remontais calmement mon pantalon en devinant le sourire moqueur de Soraya. Ce n’était pas la première fois qu’elle me surprenait dans des positions délicates ; elle en avait l’habitude. Elle était même devenue la gardienne de mon intimité, quand une femme était avec moi au bureau. (Elle-même en avait profité un temps, avant de se marier et de devenir fidèle à son mari). Elle avait sous les bras une dizaine de copies du contrat qu’elle avait tapée et tirée. - Tout est prêt ! Il ne reste plus que la signature, dit elle à haute voix pour dégeler l’atmosphère. Elle posa les contrats sur le bureau et alla s’asseoir auprès de Farida qu’elle embrassa sur la joue en lui disant qu’elle ne regretterait pas son aventure ...
... avec moi et que j’étais ce qui pouvait lui arriver de mieux au cours de cette période si difficile pour elle. Je lui dis de l’accompagner chez moi et de l’y installer pour la nuit. Je devais rester encore un petit moment au bureau pour signer les contrats et régler quelques problèmes en suspens. En réalité je voulais leur laisser le temps d’appeler les parents de Farida pour les informer qu’elles allaient passer la nuit ensemble et d’arriver à la maison assez de temps avant moi pour que Farida s’habitue aux lieux. Elles partirent donc une demi-heure avant moi. J’en profitai pour faire quelques courses et arriver chez moi les bras chargés de victuailles. Quand j’arrivais, Soraya était déjà partie et Farida m’attendait seule, debout au milieu du salon. Elle n’avait pas quitté sa fameuse tenue : elle était restée avec sa longue gandourah noire qui cachait tous ses attraits, ainsi qu’avec son foulard, noir lui aussi, qui tenait sa chevelure prisonnière. Je ne savais pas si j’espérais la trouver ainsi ou avec l’une des tenues affriolantes qui se trouvaient dans la penderie de ma chambre (et dont Soraya connaissait parfaitement l’endroit et l’usage que j’en faisais avec mes conquêtes et qui avait dû en parler à Farida). Je la voulais avec sa tenue pour avoir à la déshabiller moi-même : paradoxalement, moi qui n’acceptais même pas l’existence de ce type de tenues dont la signification profonde m’exaspérait, je fantasmais souvent sur des silhouettes de femmes enfermées dans leur ...