LA FEMME VOILEE
Datte: 28/05/2018,
Catégories:
Anal
Première fois
Hardcore,
Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... torrides qu’elle pourrait regretter un jour ; résister et perdre des instants de bonheur qui pourraient ne jamais revenir.
Elle me dit qu’elle a eu une longue discussion avec Soraya, il y a quelques jours à propos de moi et de mes aventures amoureuses. D’après ce que j’ai compris, elle lui aurait raconté un peu ma vie, en insistant sur les bons côtés de ma personnalité, mes capacités sexuelles, ma discrétion, ma générosité et surtout le bonheur que j’apportais aux femmes qui étaient avec moi. Qu’elle était tentée de se laisser aller à vivre de grands moments d’amour inoubliables. Que je lui plaisais beaucoup, même si mon côté papillon lui faisait peur. Mais d’un autre côté, elle ne devait en aucun cas donner à son mari le prétexte de prendre une revanche terrible sur elle, en la faisant condamner pour adultère.
Je la rassurai du mieux que je pus. J’avais maintenant une folle envie de tenir cette femme dans mes bras, de l’embrasser, la caresser partout, la serrer fort contre moi pour la protéger. Je lui susurrais tout doucement, tout en serrant sa main sur mon cœur, qu’avec moi, il ne lui arrivera jamais rien de mal ; que je serais toujours à ses côtés pour lui apporter toute l’aide dont elle pouvait avoir besoin ; que personne, tant qu’elle n’aura pas obtenu son divorce ne saura rien de notre liaison (à part Soraya, qui sera notre complice et qui était une très fidèle amie). Je l’ai prise dans mes bras et la serrai très fort. Elle se laissa faire passivement d’abord, ...
... puis commença à s’animer au fur et à mesure que mes baisers se faisaient plus forts, plus insistants et plus torrides. J’approchais ma bouche de la sienne, qui d’abord se détourna pour éloigner le moment fatidique où nous franchirions tous les deux le Rubicon, puis se laissa prendre au piège de ma bouche vorace. Je lui donnais un long baiser fiévreux, ma langue cherchant par tous les moyens à pénétrer dans sa bouche qu’elle avait gardée, pour une fois, fermée, mais qui finit par s’ouvrir pour accueillir ce bout de chair entreprenant qui se mit à la poursuite de sa langue.
Rapidement, elle oublia toutes ses craintes et se laissa emporter par le désir et le plaisir. Sa langue s’avéra aussi intrépide que la mienne. Elle se mit à lui rendre coup pour coup, à la poursuivre jusqu’à l’intérieur de ma bouche en y apportant avec elle un flot de salive sucrée. Nous échangeâmes nos salives, que nous bûmes goulûment. Nos dents se retrouvaient en contact, nos lèvres ne se quittèrent plus. J’aspirais tout ce que je pouvais boire dans sa bouche ; elle me rendait régulièrement la pareille. Nos corps étaient électrifiés ; collés l’un à l’autre. Elle frottait sa poitrine volumineuse contre la mienne. Je collais mon bas ventre avec mon sexe monstrueusement gonflé, même prisonnier à l’intérieur du pantalon, contre son ventre ferme. Nous frottions nos corps l’un contre l’autre, tout en continuant nos baisers torrides.
A bout de souffle, nous nous arrêtâmes pour reprendre notre respiration. ...