LA FEMME VOILEE
Datte: 28/05/2018,
Catégories:
Anal
Première fois
Hardcore,
Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... dessus dès que tu te trouveras seul en ma compagnie.
- Tu es déçue ? Lui répondis-je en riant de bon cœur.
- Non! C’est le contraire qui m’aurait déçu ! Je n’aime pas les hommes impatients, toujours pressés à assouvir leurs bas instincts et qui finissent par se comporter en goujats ! Toi tu ne sembles pas pressé, tu prends ton temps; tu fais monter la pression petit à petit ; je sais que tu ne penses qu’à çà, même maintenant que tes mains sont occupées à préparer le repas. Mais tu ne laisses rien paraître, comme si tu étais totalement détaché.
- Tu as tout faux ma belle ! Je ne pense absolument qu’à ça ! A la manière dont je vais venir de suite te prendre dans mes bras, t’embrasser, t’arracher cette maudite tenue et t’amener dans la chambre pour assouvir ce que tu appelles mes bas instincts ! Alors soit tu te sauves, pour aller regarder la télévision, le temps que je termine de préparer à manger, soit j’abandonne tout et je saute sur toi ! A toi de choisir !
- Saute sur moi ! fit-elle de manière effrontée, en s’approchant de moi, en éteignant les feux de la cuisinière et en se blottissant dans mes bras. J’ai vraiment envie de faire l’amour ! Cela fait tellement longtemps que j’en suis sevrée ! Caresse-moi ! Embrasse-moi ! Baise-moi ! Fais-moi l’amour comme une bête ! Ici dans la cuisine !
Inutile de vous décrire l’effet que cette attaque soudaine avait eu sur moi ! En une fraction de seconde mon corps était parcouru de frissons ; mon bas ventre se mit à me ...
... torturer, mon sexe s’était subitement réveillé et faisait une bosse volumineuse sur le devant de mon pantalon. Il continuait à grandir et grossir à vue d’œil. Je pris la tête de ma belle entre les mains pour lui donner un long baiser sur la bouche ; un baiser fougueux et mouillé qu’elle me rendit avec empressement, mais qui ne semblait plus la contenter comme tout à l’heure au bureau. Son corps se pressait contre le mien ; son ventre se frottait à mon bas ventre allant chercher volontairement la bosse de mon sexe. Ses seins se collaient contre ma poitrine et m’invitaient à les entreprendre ; sa main se décolla soudainement de ma nuque et alla farfouiller dans ma braguette ; Elle voulait sortir mon gros gourdin pour le masser. Elle y réussi très vite ; et très vite elle était à genoux devant moi entrain de me branler vigoureusement avec d’amples mouvement d’une main dodue, douce et ferme sur l’engin. Elle me tira quelques gémissements de plaisir. Elle continua un temps, puis s’arrêta un moment, déposa un très léger baiser sur mon sexe, se leva et me dit à l’oreille
- Baise-moi ! Je n’en peux plus !
Je la pris dans mes bras, la soulevai légèrement du sol et la plaquai contre la table de la cuisine, qui était encore jonchée d’épluchures de pommes de terre. Je l’allongeai sur le dos, les fesses au bord de la table et les pieds posés à terre. Je ne cherchai pas à la déshabiller ; à la mettre nue. Non, je voulais aller directement à son intimité ; à la dévoiler et aller dévorer ...