1. Découverte du mélangisme


    Datte: 28/05/2018, Catégories: 2couples, fbi, couplus, Voyeur / Exhib / Nudisme chaussures, facial, Oral fdanus, fsodo, échange, init, Auteur: Freeman, Source: Revebebe

    ... offerte à nos désirs partagés.
    
    Je continuai donc à lui caresser et presser ses seins, comme je savais qu’elle l’appréciait. Puis je fis glisser une bride de son soutien-gorge et c’est à ce moment qu’Aurélie se pencha en avant et vint m’aider dans cette douce manoeuvre. Pendant que je faisais glisser la bride, elle passa sa blanche main dans le décolleté et fit sortir un sein, dont le téton érigé était très désirable.
    
    Elle le caressa à pleines mains, puis prit le téton entre deux de ses ongles et le pinça doucement, délicatement, ce qui arracha un petit cri de plaisir à Laurence.
    
    Etant toujours derrière elle, de ma main droite je relevai son sein et le présentai à Aurélie, qui posa tout doucement ses lèvres dessus. Tout d’abord en baisers multiples, puis je vis sortir sa langue qui s’enroula autour de ce téton qui s’offrait à elle. Elle le prit totalement en bouche et se mit à le sucer de la plus admirable des façons.
    
    Laurence poussait de multiples soupirs, rejetant sa tête en arrière, et ne pouvant que dire :
    
    "Oui, oui, encore, je t’en prie ne t’arrête pas", ceci entre deux soupirs.
    
    Appréciant tellement cela, je fis descendre la seconde bride du soutien-gorge afin de libérer l’autre sein, qu’Aurélie se mit en devoir de caresser de la même façon, trop heureuse de voir cette femme qu’elle caressait réagir d’une façon aussi chaleureuse à ses attentions.
    
    Pierre, pendant ce temps, n’était pas en reste et caressait le sexe de sa conjointe, ayant glissé sa ...
    ... main entière vers son intimité. Ses caresses devaient être des plus délicieuses, au regard du visage d’Aurélie et de ses soupirs.
    
    De mon côté, alors qu’Aurélie avait pris en main les seins Laurence, je fis glisser mes mains vers son sexe, mais sans pour autant y accéder de suite, même si elle insistait de part les mouvements de sa main pour que je glisse mes doigts sous son string. Je me contentais d’effleurement, de pressions du plat de la main sur son intimité, tout en évitant soigneusement son clitoris car je savais que si je m’y attardais trop, elle jouirait très rapidement.
    
    Non, pas encore, nous avions encore d’autres caresses à nous prodiguer avant de nous libérer dans l’extase de la jouissance.
    
    Il est vrai que son sexe était très humide, son string trempé de ce désir charnel, de cette envie de sexe. Je glissai tout de même un doigt en son intimité, que j’introduisis avec douceur et délicatesse, sans précipitation, pour qu’elle savoure cette pénétration. Elle m’en remercia par un baiser long et profond et en écartant encore plus ses jambes.
    
    Face à cela, je vis que Pierre se caressait doucement, savourant ce qu’il voyait, deux superbes femmes, appuyées contre un homme, l’une dévorant les seins de l’autre, d’une façon intense comme si sa vie dépendait des soupirs qu’elle allait tirer de Laurence.
    
    Après un long moment passé ainsi, les seins de Laurence libérés, humides de la salive de son amie, elle rouvrit ses yeux et vit que Pierre se masturbait derrière ...
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