Un fantasme de plus??
Datte: 28/05/2018,
Catégories:
Mature,
Première fois
Auteur: Cochise971, Source: xHamster
... fauteuil et la conversation reprit.
Un peu plus tard, je proposai un cocktail avant que nous ne nous séparions. Chris et Claude acceptèrent. Je me levai, emportant les tasses pour revenir avec un large plateau sur lequel trois grands verres jetaient des reflets colorés. Nous avons bu tout en plaisantant agréablement. Parfois, le rire cristallin de Chris perlait comme une bulle de champagne. L’alcool avait rosi ses joues. Nous pouvions, Claude et moi, admirer son sourire gourmand, son regard brûlant et, surtout, ses jambes découvertes très haut par sa robe légère.
Elle semblait prendre beaucoup de plaisir à écouter Claude qui se laissait aller à quelques confidences concernant sa vie sentimentale qu’il tournait en dérision avec beaucoup d’humour. Depuis plusieurs minutes, j’observais discrètement mon ami dont les regards semblaient déshabiller mon épouse, inconsciente de l’effet qu’elle produisait.
D’ailleurs, il s’enhardit et m’avoua :
— Si je peux me permettre, sans paraître impoli ou déplacé, c’est à ton épouse que je ferais volontiers la cour.
Puis, se tournant vers elle, il ajouta :
— Vous êtes vraiment une épouse charmante que j’adorerais avoir comme maîtresse car vous êtes particulièrement belle, attirante, sensuelle et désirable !
Chris éclata d’un rire léger pendant que je répondais :
— C’est avec beaucoup de plaisir et sans aucune jalousie que j’apprécie ces compliments que je trouve d’ailleurs parfaitement mérités.
Nous avons continué ...
... à discuter et à plaisanter de longues minutes. Chris a étouffé un bâillement, s’est étirée longuement, faisant innocemment saillir sa poitrine orgueilleuse.
— Si cela ne vous gêne pas, je vous laisse à vos souvenirs, il se fait tard et je n’en peux plus, dit-elle avant de se lever, de venir m’embrasser gentiment puis de se tourner vers Claude pour lui dire au revoir.
J’en profitai pour m’exclamer :
— Tu pourrais faire la bise à un homme aussi galant, mon amour !
En riant, elle se pencha vers Claude dont le regard plongea immédiatement sur la splendide poitrine à nouveau dévoilée au creux de sa robe. Elle l’embrassa sur la joue et s’éloigna, silhouette souple, ondulante, suivie par nos regards attentifs. Je resservis un verre et nous avions repris notre conversation quand, à nouveau, nous nous sommes tus. Chris traversait le salon, sortant de la salle de bains pour aller se coucher.
— Bonne nuit ! chantonna-t-elle en passant près de nous.
Elle avait troqué sa robe contre un simple tee-shirt qui moulait audacieusement ses seins fermes et couvrait à grand-peine le haut de ses cuisses, faisant ressortir la rondeur de sa croupe affolante. Elle disparut dans la chambre, laissant dans son sillage les effluves poivrés d’un parfum capiteux et deux admirateurs au bord de l’apoplexie !
Un peu plus tard, je proposai à Claude de passer la nuit dans la chambre d’amis, la soirée étant déjà très avancée et n’ayant pas envie de le raccompagner jusqu’à son hôtel, à une ...