Une pause cigarette
Datte: 28/05/2018,
Catégories:
ffh,
inconnu,
fépilée,
fsoumise,
fdomine,
noculotte,
Oral
préservati,
fsodo,
sm,
piquepince,
confession,
hff,
fsoumisaf,
Auteur: Christophe H, Source: Revebebe
... pour refuser.
— Oui ou non ?
— Je croyais que vous étiez gouines.
— On n’a pas dit qu’on ne l’était pas. Il n’empêche que cette incorrigible nympho a besoin de se faire ramoner le trou du cul régulièrement pour ne pas déprimer. Oui ou non ?
— Oui.
Karine s’était levée et était venue nous rejoindre derrière le banc. Elle posa ses mains sur le dossier, et sans la moindre hésitation se plaça en position de levrette, le dos complètement cambré, les fesses jetées vers l’arrière. Elle écarta largement les jambes pour ramener son bassin à ma hauteur malgré ses très hauts talons, puis remonta sa robe sur ses hanches, se découvrant totalement ; elle ne portait pas non plus de culotte. Oriane ralluma le briquet. Comme de nombreuses jeunes femmes, la bimbo était ornée d’un large tatouage triangulaire au creux des reins, ce que les anglo-saxons nomment untramp-stamp. Le sien représentait un long ruban dessinant de multiples nœuds et entrelacs. Ses deux cuisses étaient quant à elles entourées d’un motif de dentelle, à la manière de deux jarretières. Oriane guida ma main jusqu’au mont de Vénus, parfaitement glabre, et me fit descendre sur la chatte.
Karine avait les grandes lèvres percées et fermées par trois gros anneaux, qui passaient à travers six trous renforcés deflesh tunnels. Les anneaux étaient assez espacés pour pouvoir glisser un ou deux doigts, mais toute pénétration par un sexe d’homme était manifestement impossible. Remontant à la recherche du clitoris, je butai sur ...
... une sorte de grille en plastique qui couvrait le haut de son sexe. Comme tout à l’heure lorsque j’étais en train d’explorer son propre vagin, Oriane retira ma main.
— Ne cherche pas à lui donner du plaisir, elle n’a pas le droit de jouir. Et de toute façon elle est équipée pour ne pas pouvoir. Oublie sa chatte, fais comme si elle n’en avait pas. Encule-là.
Là-dessus, elle déboutonna mon pantalon et fit jaillir mon sexe. Je bandai comme jamais. Avec dextérité, elle déroula un préservatif sur mon membre et me poussa rapidement entre les fesses offertes.
À ma grande surprise, mon pénis traversa l’anus de Karine sans rencontrer de résistance. J’avais eu à de nombreuses reprises l’occasion de sodomiser des femmes, et j’étais pleinement conscient de l’effort que celles-ci doivent habituellement faire pour décontracter leur sphincter jusqu’à ce qu’il daigne s’ouvrir, pour accepter la pénétration malgré la douleur initiale. Mais cette sodomie ne ressemblait à aucune autre. Sans doute la lubrification du préservatif y était pour quelque chose, en tout cas je m’étais glissé en elle sans qu’elle n’exprime la moindre gêne et sans ressentir la moindre opposition, comme si son trou du cul était déjà largement ouvert avant mon arrivée. À présent, j’allais et venais avec ampleur, les mains posées sur ses hanches ; je ramonais profondément sa croupe sans parvenir à lui arracher ni soupir de plaisir ni soupir de protestation.
Je profitais de la situation pour partir à la découverte ...