Journée d'été friponne - Histoires de Sexe

Journée d'été friponne

... La chaleur étouffante nous pousse à faire une sieste méritée.

Dans la chambre aux persiennes closes, nous dormons une bonne heure sur un drap blanc, nos têtes reposant sur de gros oreillers en plumes d’oie. Sur le grand lit en fer forgé, j’entends ma femme bouger ; elle sort des bras de Morphée. Avec ses doigts de pied, elle caresse mes jambes, m’invitant ainsi à entrer dans une relation intime. J’attrape son pied et masse le centre de la plante ainsi que le dessous du pouce, opérations qu’affectionne particulièrement ma conjointe. J’effectue le massage plantaire sur l’autre pied en procédant de la même façon.

Détendue et impudique, Christine s’étire et titille d’un doigt son bouton rose. J’avance ma tête entre ses jambes et entreprends un cunnilingus en prenant la précaution de ne pas la déranger dans sa caresse. Du bout de la langue, je lèche le contour des grandes lèvres et le périnée. Je lape la cyprine qui commence à couler à la commissure des petites lèvres. Ma femme prend en main un stimulateur clitoridien et positionne l’embout sur son bouton rose. À sa demande, je m’allonge en sens inverse pour lui présenter au visage mon sexe. Christine le masturbe, démarre une fellation tout en maintenant le stimulateur sur le clitoris. À l’opposé, j’introduis un doigt dans son sexe pour titiller le point G. Ma femme commence à émettre de petits gémissements de plaisir. Sous mon doigté plus appuyé, les aspirations et les ondes de l’objet érotique, Christine connaît ainsi ...

... des orgasmes répétés pendant une quinzaine de minutes. Elle augmente la puissance du stimulateur et accélère la masturbation, donnant ainsi le signal du dernier round. Avec un majeur et un index, je caresse les parois intérieures de la cavité, tandis que ma femme jouit intensément. J’éjacule au fond de sa gorge en pinçant ses mamelons sans ménagement. Elle avale le sperme, nettoie mon gland et mes bourses avec sa langue, se lève, me laissant découvrir au milieu du drap une grande tache humide.

Après une douche commune, nous prenons nos tenues et autres accessoires pour aller à la plage au milieu de l’après-midi. Par une traverse dans les dunes, nous accédons au bord de mer et nous nous installons dans un coin peu fréquenté et sauvage apprécié des nudistes. Le parasol planté, nous retirons nos maillots et nous prenons place sur nos serviettes de bain. Assis, nous observons les vacanciers qui se baignent et jouent dans une mer étale bleue. Sur la ligne d’horizon, des voiliers progressent lentement en raison de la faible brise. Quand les baigneurs vont vers la mer, nous regardons leur dos et leurs fesses et quand ils en reviennent nous zieutons derrière nos lunettes de soleil les poitrines et les sexes. Nous commentons avec humour le spectacle qui nous est offert par nos contemporains nudistes.

À proximité, deux couples dans nos âges se dorent au soleil en changeant régulièrement de position pour parfaire leur bronzage. Plus distant, un homme seul, debout telle une vigie, ...