L'Art de Fourrer des Vieilles (5) - Histoires de Sexe

L'Art de Fourrer des Vieilles (5)

... celle ci. Aucune tentative de séduction de la part de la dame. Sachant pourtant que j'avais fourré son amie. Elle s'était quand même habillée d'un t-shirt blanc un d'un bas de pyjama rose pâle. La pointe de ses seins en érection. Une odeur de chatte mouillée apparaissant vers mes parois nasale. Le dimanche au complet passé seul pour des raisons intrigantes. Sentant pourtant que les deux femmes étaient disponibles. Finissant mes deux derniers jours de travaux. Jocelyne me demandant si je devais repartir ou bien rester encore un moment. Lui disant dépendant de sa décision et de ses conditions de logis. Je pouvais encore rester un autre dix jours si elle le voulait. Alors pour les conditions me dit-t'elle. Ce sera 120 dollars pour les dix jours tous les repas compris. Et tu pourras nous fourrer moi et mon amie tant que tu le voudras.

Dix jours à baiser ses deux vieilles sans arrêt dans tout les recoins de la maison. Et dire que Jocelyne était une très bonne amie de ma mère. Fourrant celle ci comme une vrai chienne en rut. Leur demandant pourquoi elles m'avaient fait languir aussi longtemps. M'expliquant qu'elles voulaient seulement faire augmenter la tension sexuelle à son maximum. Pour que ma décision de rester soi sans équivoque. Les travaux ayant été une priorités à prime abord. Réalisant que de faire l'amour brûler n'aurait pas donné grand chose de mon côté.

Jocelyne était une belle petite blonde aux yeux bleus un peu enveloppée. Elle avait une grosse paire de seins ...

... ronds ayant visiblement connue de meilleurs jours. Très doux et délicats au touchés. La dame de 58 ans était tout à fait charmante. Une amante grandiose faisant les choses tout en douceur. Ses fellations pouvaient durer une éternité. Une femme qui aimait faire l'amour lentement sans précipitations. Léchant sa belle petite chatte rosée taillée de près. Son alimentation alors très saine et diversifiée. Sa cyprine goûtait remarquablement très bon. Le faisant tôt le matin, vers seize heures en matinée ou bien tard le soir. Ce déroulant habituellement au salon, la salle de lavage, la cuisine, appuyés sur la bibliothèque, sur le comptoir de cuisine, la douche etc etc etc. Me donnant la permission de la prendre un peu plus virilement au septième jour. Sa chambre à présent le seul endroit disponible pour nos assouvissement. Ma tige bien dressée dénuée aussi de toute protection cette fois si. Fourrant la madame seulement dans la position du missionnaire de façon très intense et passionnée. Sa chaleur corporelle semblait explosé aussitôt prise de façon rapide et soutenu. Gémissant toujours à gorge déployée. Appuyant sa jambe gauche sur mon épaule droite. Des sons de pénétration mouillée résonnant dans toute la pièce. Elle semblait adorer se faire prendre par ma vigoureuse jeunesse. Pénétrant son antre chaud tel un archet voulant créer du feu. Exprimant quelques Ouiiiiiiii continuuuueeeee. Une femme qui aimait beaucoup embrasser et faire des massages langoureux. Son odeur tout à fait ...