1. Ma mère me pique mon copain (1)


    Datte: 26/05/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory

    Au cours de ma première année de Fac’, j’ai rencontré un étudiant antillais avec lequel j’ai immédiatement sympathisé... Il était loin de son île natale et comme il me l’a avoué ensuite, il n’imaginait pas les métropolitains aussi racistes... Je lui avais expliqué à ce moment-là que l’afflux d’immigrés de tout horizon y était pour quelque chose.
    
    Nous partagions beaucoup de points communs : l’amour de la littérature ancienne, de la musique des années 50 / 60 et en dehors des cours, nous faisions de longues promenades dans Paris que je lui faisais découvrir. Nous visitions les différents musées avant que Jimmy regagne sa chambre à la Cité U et que de mon côté, je rentre dans le logement que je partage avec ma mère dans le centre de Paris.
    
    En fait de logement, il s’agit d’un appartement bourgeois dont ma mère a hérité d’une lointaine parente qui l’a mis à son nom avant de décéder. J’occupe une petite chambre avec un cabinet de toilette qui à l’origine devait être destinée à une bonne...
    
    Ma mère Julie est écrivaine et la pièce qui lui sert de bureau est encombrée de livres de toutes sortes qui parfois, servent pour la description de lieux qu’elle veut inclure dans ce qu’elle écrit. Elle a été mariée quelques années et mon père a disparu un jour et ayant fait le nécessaire pour le divorce, il n’a plus donné de nouvelles...
    
    N’allez pas croire que ma mère n’a pas d’homme dans sa vie... je dirais même qu’elle en a eu plusieurs pour des liaisons plus ou moins durables... ...
    ... Je sais aussi que de temps à autre, elle se rend dans des clubs coquins qui sont assez nombreux dans la capitale : c’est, dit-elle, un exutoire à sa libido...
    
    De mon côté, je ne suis plus une oie blanche depuis quelques années... Après une relation saphique avec une camarade de lycée, j’ai sauté le pas lors de la boum de fin d’année avant d’entrer en terminal... Ensuite, j’ai fait plusieurs ‘essais’ avec des copains, mais j’en ressortais insatisfaite... Je n’étais pas avide de sexe comme certaines de mes camarades qui collectionnaient les amants et en changeaient tous les week-ends ! Donc ma relation avec Jimmy restait platonique ! Et cela semblait nous suffire...
    
    Et ce qui devait arriver... arriva !
    
    Avec Jimmy, nous avons été surpris en fin de journée d’un samedi de printemps par une brusque averse orageuse comme il y en a à cette saison. Nous avons tenté de nous réfugier dans un magasin, mais décidément l’averse durait si bien que nous nous sommes retrouvés en marchant vite dans ma chambre... Trempés jusqu’aux os !
    
    Dès que nous sommes arrivés, nous avons éclaté de rire et avec son inimitable accent créole, Jimmy a dit :
    
    — Et maintenant... il ne me reste plus qu’à me déshabiller et faire sécher mes vêtements !
    
    — C’est une bonne idée... en plus, je t’offre l’hospitalité !
    
    — Oh merci, mais ton lit me semble bien étroit !
    
    — On se serrera... à moins que tu ailles dans une des chambres de l’appart’ de ma mère !
    
    — Non... je ne veux pas la déranger !
    
    — ...
«1234...»