1. J'ai rencontré la patronne du magasin (2)


    Datte: 25/05/2018, Catégories: Lesbienne Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    Salut c’est votre folle de lycra.
    
    Dans l’épisode précédent je vous racontais comment j’avais fait la connaissance de Muriel la responsable d’un magasin de vêtements relativement connu. Je m’étais rendue dans son enseigne à l’occasion des soldes et manifestement je lui tapais dans l’œil depuis quelque temps. Comme moi, cette responsable de magasin était une grande et belle femme, peut-être un peu dominatrice. Elle avait manigancé son coup tout en douceur pour me coincer dans une cabine d’essayage peu utilisée et à l’écart des autres. C’est ainsi qu’elle a pu disposer de moi et me faire craquer pour elle. C’est à cette occasion que je découvrais le plaisir entre femmes et cela n’était pas pour me déplaire. J’ai appris ce jour-là à butiner l’entrejambe d’une femme et surtout tout faire pour lui donner du plaisir; chose que je réussis dès ma première tentative. Finalement mes soldes étaient vraiment des soldes car j’avais fait de grosses économies ce jour-là car Muriel m’avait fait en guise de cadeaux de bienvenue dans le club des gougnottes, des réductions bien plus importantes qu’annoncées. J’ai gardé bien évidemment le petit papier où se trouvaient les coordonnées qu’elle m’avait laissées.
    
    Un jour est arrivé où je n’ai plus pu résister au désir de la recontacter, en fait je ne savais pas quelle raison trouver pour l’appeler. Il m’était arrivé à plusieurs reprises de retourner dans le magasin, discrètement je l’y cherchais des yeux un peu partout mais rien à faire. Au ...
    ... fond de moi j’étais persuadée qu’elle devait me voir à chaque fois que je rentrais, mais je pense qu’elle attendait que je passe à l’acte en l’appelant. Elle se faisait désirer et elle savait très bien que si je l’appelais c’était une forme de soumission à elle car c’est moi qui étais demandeuse. Je restais une femme idéale pour mon mari mais très souvent dans ma tête c’est Muriel qui me faisait mouiller maintenant. Je ne sais plus combien de fois je m’étais chatouillé l’abricot en pensant à elle en l’absence de mon mari. J’avais même poussé le vice jusqu’à acheter les mêmes dessous qu’elle portait le jour où nous nous rencontrâmes. J’ai donc finalement trouvé une raison pour la contacter, à savoir si elle ne pouvait pas trouver un boulot d’été pour ma nièce. Je l’ai donc appelée sur son portable et lui ai laissé un message lui expliquant la raison de mon appel.
    
    Quelle n’a pas été ma joie quand elle m’a rappelée en m’invitant à ce que nous nous rencontrions un soir au resto entre quatre yeux. J’ai donc expliqué à mon mari que j’avais retrouvé une amie d’enfance et que nous étions très heureux de nous être croisées dans une grande surface. Pour le coup, nous avions décidé de nous faire un petit resto pour parler du bon vieux temps en toute intimité. C’est ainsi qu’un vendredi soir je suis partie rejoindre la responsable du magasin si troublante qui quittait son poste vers 19h. La tenue qu’elle portait était un véritable appel au viol, même moi elle m’excitait; ceci dit elle ...
«1234...»