1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1289)


    Datte: 25/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... au secours de Sa soumise il y en a peu, malheureusement, qui s’en serait soucier genre une de plus ou une de moins quelle différence ?
    
    - Je sais tu as raison pour Lui, Ses soumises ont autant de valeurs que les membres de Sa famille.
    
    - Hé oui, et c’est à cela qu’on reconnait les bons de mauvais Maîtres.
    
    Antonin conduisit donc Chloris au manoir de Maisondieu où la Comtesse lui annonça qu’elle aussi était convoquée et serait du voyage.
    
    - C’est de plus en plus étrange. Bien ma tante, nous y allons ?
    
    - Louis-Etienne, tu es responsable de cette maison et je te confie tes sœurs et notre invitée. Veille à ce que son séjour soit le plus agréable possible.
    
    - Ne t’inquiète pas, ça ira.
    
    Après qu’Antonin soit passé chercher sa grand-mère, ceux-ci et sa tante rentrent au Château en soirée. Après le repas Antonin et le Seigneur d’Evans se retrouvèrent seuls à discuter du voyage, quand ils décidèrent d’aller se coucher Antonin demanda :
    
    - Pourrais-tu Me prêter Marion, pour la nuit ?
    
    - Oui, mais tâche d’être en forme car nous partons de bonne heure demain matin répondit le Seigneur d’Evans…
    
    Marion se présenta à la porte de la chambre d’Antonin et entra après avoir frappé et elle se mit au centre de la pièce à genoux, tête baissée, mains dans le dos et attendit. Antonin s’approcha de Marion et lui mit en bandeau sur les yeux :
    
    - Cette nuit sera relativement calme, car je dois me reposer mais avant j’ai besoin de me détendre et si tu me satisfais, ce dont je ...
    ... ne doute pas, tu seras récompensée.
    
    Marion leva la tête, signe qu’elle demandait la parole.
    
    - Tu peux parler.
    
    - Monsieur le Duc, je ferai de mon mieux pour vous satisfaire et vous remercie de me récompenser mais je ne fais là que mon devoir de soumise.
    
    - Tu sais Marion, si je n’avais pas rencontré Ma Chloris que j’aime, j’avoue que tu m’aurais attiré par ta franchise naïve, ton imagination et ton sourire qui, malgré ce que tu as vécu dans cet affreux couvent, ne t’as jamais quitté et aussi et surtout ta fidélité et ta confiance sans faille au Maître à qui tu appartiens et à tous ceux à qui Il daigne te prêter, dont moi.
    
    - Merci Messire, je ne sais que répondre.
    
    - Alors ne répond rien petite chienne… Et savoure le moment d’être avec moi… Debout, immédiatement.
    
    Antonin la saisit par la taille et l’attira à lui. Marion sentit l’excitation érectile de l’homme contre son ventre. Il était nu en effet car il s’était dévêtu le temps qu’il lui avait parlé. Il l’embrassa d’un baiser fougueux et dominant. Puis Antonin l’entraina à sa suite, jusqu’à un siège sans accoudoirs. Il s’assit et ordonna à Marion de venir à califourchon sur lui, une jambe de chaque côté de ses cuisses et ainsi il la fit s’empaler sur sa verge fièrement dressée. Bien que peu habituée à cette pratique, Marion adorait se sentir ainsi autant remplie. Antonin commença ses mouvements de bassin et Marion se tenait au dossier et elle dégoulinait littéralement, son orgasme montait à la vitesse grand V ...
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