1. Un dimanche bien occupé


    Datte: 25/05/2018, Catégories: fh, ff, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, fouetfesse, confession, sm, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... toujours sur nous… Une fois nues, les bras le long du corps, nous attendons. C’est Maître Bergen qui nous dicte la suite :
    
    — Très bien, c’est nettement mieux ainsi.
    — En effet, c’est nettement mieux !
    — Maintenant, nos belles petites salopes vont s’occuper de la cuisine afin que nous puissions manger tous les quatre.
    — Vous êtes macho, mon cher Bergen…
    — Non, je suis Dominant. Et puis, une soumise se doit d’être aux petits soins, sinon où serait le plaisir pour nous ?
    — Pas faux.
    
    Durant ce temps, dociles, nous nous dirigeons vers la cuisine, tandis que nos Maîtres restent dans le salon. Je referme la porte derrière moi, autant rester au calme sans ces fichus hommes dans nos pattes ! Marine me demande :
    
    — Alors, on prépare quoi ?
    — Bah, ça va être facile, c’était planifié d’avance.
    — C’est-à-dire ?
    — L’entrée est déjà dans le frigo. Et regarde dans le four, tu comprendras…
    
    Ma consœur obéit, elle se penche pour mieux voir à travers la vitre du four. Au passage, je peux admirer son beau cul bien ferme et habitué aux fessées. Puis elle se relève aussitôt avec un large sourire :
    
    — Ah d’accord, poulet rôti sur son lit de pommes de terre rissolées.
    — Exactement, tout le monde aime, et c’est simple à faire !
    — Surtout si le poulet est déjà cuit…
    
    Nous rions toutes les deux, pourtant il n’y avait pas trop de quoi s’esclaffer. Mais ça nous détend, car jouer les soumises est quand même un tantinet stressant. Puis nous papotons de tout et de rien, le temps ...
    ... passe. Soudain, Marine demande :
    
    — Et si on allumait le four ?
    — Tu as raison, je m’en occupe.
    
    Je saisis la boîte d’allumettes, j’ouvre le gaz et peu après, les 2 flammes s’allument. Puis je referme la porte du four. C’est alors que Marine fait tomber quelque chose, une petite cuillère.
    
    — Ah zut !
    — T’inquiète, je ramasse !
    
    À nouveau, je me penche pour saisir le couvert. Alors que mes doigts allaient se refermer sur le manche, je sens deux mains qui empoignent mes hanches, suivies de deux baisers sonores sur mes fesses !
    
    — Marine, tu fais quoi, là ?
    — Bouge pas !
    
    Curieusement, je reste penchée. C’est alors que je sens la langue agile de Marine venir me taquiner dans le sillon de mes fesses. Je me laisse faire quelques instants, puis je finis par dire :
    
    — On est censées faire la cuisine, je te signale ! Et si nos Maîtres savaient !
    — Justement, ils ne savent pas !
    — C’est pas une raison…
    
    Pour toute réponse, sa langue s’égare plus bas, entre mes lèvres déjà un peu humides. Après quelques léchouilles, Marine murmure, un tantinet amusée :
    
    — Eh bien, toi, on peut dire que tu démarres vite !
    
    Je ne réponds rien, je me redresse. Privée de mes fesses et de ma chatte, Marine en fait de même. À peine quelques secondes plus tard, la porte s’ouvre, c’est mon Maître qui vient aux nouvelles. Nous le renvoyons poliment dans le salon en lui assurant que le repas arrive bientôt et que nous allons mettre la table. Une fois qu’il est reparti, je dis à ma consœur ...
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