Un dimanche bien occupé
Datte: 25/05/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
fouetfesse,
confession,
sm,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... cul soit lisse et rose. Relève ta robe et présente-moi tes fesses.
— Oui, Maître.
Avec une certaine anxiété, je relève ma robe, puis je me penche, présentant mes fesses dénudées. Aussitôt, je reçois une première fessée, donnée à main nue. Je préfère ça ! Nettement ! J’ai cru un instant qu’il allait quand même utiliser des orties ! Une seconde survient ensuite, puis une troisième, plus sèche et claquante.
Soudain, j’entends :
— Après vous…
— Avec plaisir !
Une nouvelle fessée s’abat sur moi, plus impérieuse. Ce n’est plus la main plutôt douce de mon Maître, mais celle de notre invité. Une tape suivante arrive aussitôt, peu clémente elle aussi ! Je serre les dents. Je me crispe dans l’attente de la prochaine quand j’entends :
— C’est bon pour maintenant. La prochaine fois que tu te rebiffes, je te demanderai de t’asseoir cul nu dans une grosse touffe d’orties. Et tant pis pour ton cul tout lisse.
— B-bien, Maître.
Toujours est-il que j’ai échappé aux orties ! Et tant pis pour ma réputation de soumise qui est descendue de quelques crantages. Ce n’est pas grave, elle remontera par la suite avec de nouvelles avancées, mais je viens de découvrir que je ne suis pas prête pour toutes les choses. Pourtant, les orties, ce n’est pas bien méchant, mais j’ai de trop mauvais souvenirs d’enfance, surtout la fois où je suis tombée dans un fossé alors que je me baladais à vélo ! J’aurais dû en parler… mais tant pis, ce qui est fait est fait.
Après cet intermède, nous ...
... nous enfonçons dans le petit bois. Chemin faisant, nous tombons sur une ancienne cabane abandonnée, faite de bric et broc. Devant l’objectif de nos Maîtres, nous posons dans des attitudes aguichantes, relevant allègrement nos robes, afin de bien montrer nos trésors que convoiteraient bien des hommes en rut !
Puis après ces petites pauses et poses coquines, nous repartons. Petit à petit, le bruit de la circulation se fait mieux entendre. Puis nous débouchons en hauteur, la rocade à nos pieds, éloignée de vingt-trente mètres environ. Nous sommes à présent au sommet d’un talus haut de trois-quatre mètres environ, séparé du bitume par un fossé rempli d’eau.
Marine se penche pour mieux regarder :
— Ah oui… Même si tu as les flics en bas, le temps qu’ils franchissent le fossé et qu’ils grimpent, tu es déjà bien loin ! Pas mal, bon à savoir…
— Tu as de ces idées, Marine !
— Tu sais comme moi que notre beau pays n’aime pas trop les exhibitionnistes comme nous, même si nous ne faisons de mal à personne. On nous applaudit même parfois !
— Et les enfants, tu y penses ?
Elle soupire :
— Tu sais très bien que dans notre domaine, on évite un max qu’il y ait des enfants dans le coin. Et puis, même s’ils nous zieutent, les enfants ne sont pas encore déformés, ils n’ont pas l’esprit pervers des adultes ! Mais bon, j’ai pas trop envie de me choper une amende salée, uniquement parce que j’ai régalé les yeux des voyeurs avec mes nichons et mon cul !
— Je ne peux que te donner ...