1. Cassim


    Datte: 25/05/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: XCat, Source: Hds

    ... d'oublier mon beau marocain. Je me suis mis en couple avec Aiden, un cas rare d'enfant de riche qui ne s'en vante pas, ce que j'apprécie chez lui. 1m91, musclé, blond avec un sourire de charmeur. Il m'a aidé à me défendre contre les "Mean Girls" new-yorkaises (elles sont mondiales !) ce qui nous a rapprochés.
    
    Je lui ai un jour raconté mes problèmes restés en France en pleurant d'avoir laissé tomber mon grand amour. Il m'a écouté ans me juger il s'est contenté de m'embrasser, puis de me dire qu'il m'aimait quand même, malgré le fait que mon cœur appartient à un autre.
    
    Depuis, nous avons des rapports réguliers, ce qui me permet d'évacuer ma frustration. Comme un soir où je suis allé chez lui. Ses parents étant partis dans les Bahamas, nous regardons un film, mais comme vous vous en doutez, notre attention ne s'est pas portée sur les acteurs...
    
    Il s'est mis à m'embrasser tendrement, tout en me caressant de toutes parts ce qui a réveillé mon désir.
    
    Nous sommes montés dans sa chambre, parsemant le sol de sa grande maison de nos vêtements et tout en continuant de nous embrasser sensuellement.
    
    Une fois dans la chambre il me renverse sur le lit tout en me léchant le torse. Puis sa langue poursuivit son chemin vers le bas, jusqu'à atteindre l'objet de son désir, déjà droit comme un I.
    
    S'en suivit alors un moment incroyable, tant par la durée que par sa capacité à rentrer mon intimité entière dans sa bouche.
    
    Alors que j'allais jouir, il s'est arrêté et est ...
    ... descendu vers mon cul. Une fois que je fus bien préparé, il enfila un préservatif (Sortez couverts lol) et se plaça à l'entrée de mon intimité.
    
    Il m'a pris sauvagement, non sans passion car il me roulait des pelles d'enfer tout du long !
    
    Au bout d'un quart d'heure d’amour, je le sentis jouir. Il resta en moi jusqu'a ce que son membre se retire de lui-même.
    
    Nous nous endormîmes chacun dans les bras de l'autre après qu'il m'eut dit "Je t'aime".
    
    Chapitre 8 : Souvenirs douloureux
    
    Certes, j'avais réussi en quelque sorte à me passer de mon marocain, mais cela ne se fit pas sans larmes.
    
    Il y avait d'abord eu les deux derniers jours au lycée, emplis de malaise, l'annonce m'ayant été faite le mercredi alors que mon départ se fit le samedi suivant. Mes amis m'en ont voulu de partir aussi vite, mais ce n'était rien comparé au regard triste qu' "il" m'a lancé à la fin du dernier cours. J'ai fait tout mon possible pour rester fort, mais intérieurement j'étais effondré.
    
    Ensuite, il y eut le jour du départ. A Paris, aéroport Charles-de-Gaulle, les dernières accolades avec la famille et mes amis qui restaient en France, mais qui voulaient me dire au revoir. Lorsque j'eus passé le portique de sécurité, j'ai regardé derrière moi. J'ai aperçu une silhouette à plusieurs mètres, Sa silhouette. J'ai fondu en larmes pendant le chemin qui menait jusqu'à l'avion. Et j'ai laissé mon grand amour derrière moi.
    
    Le plus difficile se produisit sans doute deux mois après mon arrivée à NYC. ...
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