Ludo vs Elise - 2
Datte: 25/05/2018,
Catégories:
fh,
fbi,
hbi,
hplusag,
fplusag,
frousses,
rousseurs,
gros(ses),
groscul,
hotel,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
Oral
hdanus,
hgode,
hsodo,
ecriv_c,
Auteur: Lys d'Oran & Domi Dupon, Source: Revebebe
... traitant de cul de paysanne. Mais depuis que ce putain d’avion s’était posé sur le sol canadien et que lui avait posé son regard sur ce cul canadien, il en était complètement obsédé. Il faut dire qu’on ne pouvait le rater. Il l’avait vu tendant l’étoffe du pantalon, explosant la culotte de satin bordeaux. Il l’avait vu avec ses mains pendant qu’ils faisaient l’amour. Mais maintenant, il pouvait « jouir » de sa vue pleine et entière et ce n’était pas le frêle rideau, lui en dissimulant quelque parcelle selon les caprices du vent qui allait gâcher son plaisir. Deux lunes rebondies, réjouies, donnant une impression de solidité. Tout juste le contraire de ces fesses gouttes d’huile qui suintaient hors de leurs culottes. Un cul arrogant auquel on avait envie de mettre la main pour lui rappeler son état. Mais des mains d’hommes, fortes, musclées qui pétrissent ces chairs avec une douce rudesse, qui en ouvrent le sillon avant d’aller frapper à la porte de service. Enfin cette peau opalescente qui sous les lumières artificielles conférait une aura fantasmagorique à ce postérieur. À cette simple contemplation, Ludo bandait. Il faut dire qu’il avait du retard de plaisir. Avec quelque regret, il libéra son regard, l’autorisant à détailler ce corps qui l’avait fait tant jouir. Il remarqua ici la finesse étonnante des chevilles, là le galbe agréable des cuisses pourtant plantureuses, la petitesse des pieds, l’angle des épaules, la profondeur de la chute de reins, la courbe du côté d’un ...
... sein… Il n’avait jamais auparavant apprécié un corps pareil, n’en avait jamais goûté l’esthétique attendrissante. Tout en lui criait, surtout son vit qui battait la mesure, qu’il la désirait profondément.
Même s’il ne pouvait voir l’expression de son visage, rien qu’à sa posture, il perçut pour la première fois chez elle une certaine mélancolie. D’où venait cette tristesse ? Une histoire d’amour, sans doute, qu’elle cherchait à oublier ? Était-ce pourquoi elle avait jeté sur lui son dévolu ? Elle avait ceci de particulier qu’il voulait à la fois la protéger et la laisser le protéger; la réconforter et en être réconforté. Il se glissa du lit et se dirigea sans bruit vers la porte-fenêtre. Nu lui aussi, il la rejoignit sur le balcon et l’entoura de ses bras, curieusement forts et puissants en cet instant, et l’embrassa tendrement dans le cou. Il ne put s’empêcher de laisser une main parcourir ce cul qui le fascinait. Elle eut un frisson sous ce toucher et il l’enveloppa à nouveau et lui caressa les bras. Elle effleurait les siens tout doucement lorsqu’il sentit un long soupir s’évader de ses lèvres.
— Ça ne va pas ? Tu n’es pas bien avec moi ?
— Oui, je suis bien, très bien même.
— Pourtant j’ai cru sentir une certaine tristesse …
— Non, je ne suis pas triste, pas du tout, répondit-elle.
Elle aurait voulu rajouter « J’ai simplement l’agréable souvenir d’une autre nuit de juin où je suis tombée en amour avec quelqu’un qui m’effleurait doucement les bras. Il est là, ...