Les Zaventuriers (9) - Histoires de Sexe

Les Zaventuriers (9)

... que l’humaine. Son Petit Barbu comprend immédiatement l’invitation muette, et il va se placer au côté du Grand Costaud, avant d’enfoncer lui aussi son membre viril, dans le plus petit des trous qu’une femelle puisse offrir à un mâle. Les deux guerriers chevauchent pendant un moment leurs montures de concert, et c’est sans surprise celui qui a commencé qui atteint la jouissance en premier.

Tandis que sa semence gicle Krill pousse un grognement de contentement, mais celui-ci est couvert par le gémissement d’Hermine qui n’est absolument pas dû à la douleur. Ils sont peu de temps après rejoints dans leur quête par Mella et Gardain, qui eux aussi arrivent en même temps au plaisir ultime. Ensuite les Zaventuriers vont se baigner dans le lac pour se nettoyer, et la fraîcheur de l’eau en ce début de matinée, a le second mérite de faire disparaître les dernières torpeurs de la nuit. Bien entendu, lorsqu’ils reviennent sur la berge ruisselants, Mella n’oublie pas de sortir sa flûte pour leur appliquer à Hermine et elle, un charme de beauté instantanée. Une fois qu’ils ont pris une collation ils lèvent le camp, et c’est le nain qui après avoir demandé la permission à sa propriétaire, replie la tente tout aussi facilement qu’il a vu cette dernière le faire, ce qui démontre que ça n’a rien de compliqué.

— x-X-x-

Mais à présent qu’ils se sont équipés et qu’ils ont ramassé toutes leurs affaires, Hermine sort de son sac à dos la baguette de téléportation mineure en buis, puis ...

... elle dit à ses compagnons :

— Comme je vous l’ai déjà dit c’est sans danger. Mais le plus important est que nous restions au contact les uns des autres, afin de ne pas être séparés.

C’est Gardain qui lui demande :

— Et il se passerait quoi si ça arrivait ?

— Celui ou ceux qui rompraient la chaîne se retrouveraient à un endroit, et ceux qui seraient restés solidaires d’avec moi à un autre. Comme nous ne sommes pas certains de notre destination, le risque serait que nous perdions une décade ou deux avant de nous retrouver. Ce qui serait également le cas si nous devions nous rendre au Tertre Sanglant en suivant voies et chemins, mais la différence c’est que les premiers arrivés devraient attendre pendant un certain temps.

Mella intervient :

— Ça serait moins pire d’attendre que de marcher, car au moins on pourrait passer le temps en copulant comme des lapins.

— Oui. À condition que les Dieux qui ont exigé que nous accomplissions cette quête, ne nous demandent pas de pénétrer dans le tertre sans attendre le ou les retardataires. Ce qui affaiblirait notre Compagnie.

Le nain pose une autre question :

— Et ça fait quel effet de voyager de cette façon ?

— Tu n’as pas à t’en inquiéter. Même si je n’ai encore jamais utilisé cette baguette moi-même, je l’ai fait avec un de mes professeurs à l’école de Pôle d’Art. Par conséquent, je peux te dire que c’est instantané et sans douleur. Le seul risque est que la mémoire me fasse défaut, que je n’arrive pas à ...