1. Louis-David


    Datte: 24/05/2018, Catégories: fh, fplusag, Collègues / Travail parking, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral pénétratio, Auteur: Eliane, Source: Revebebe

    ... dossiers par terre. Mais il me baisa encore avec force un long moment, en ahanant. Je n’en pouvais vraiment plus. Quand il s’est retiré enfin, c’est avec plaisir et un certain soulagement que je l’ai embouché pour le faire jouir. Il s’est vidé de suite, deux longs jets de sperme qui sont venus s’écraser sur mon palais. J’ai eu du mal à déglutir mais je l’ai bu jusqu’à la dernière goutte.
    
    Je croyais que c’était fini, que nous allions nous séparer et rentrer chacun de notre côté. C’était compter sans mon partenaire qui avait visiblement une sacrée santé et qui manifestement en voulait encore. Quelle idée aussi de sortir avec un jeune ! Il n’a pas tardé à reprendre de la vitalité et une certaine rigidité. Visiblement, je l’inspirais et il n’avait de cesse d’explorer tout mon corps. Une fois bien raide, il s’est assis dans un fauteuil et m’a fait venir sur lui, sur son dard où je me suis embrochée. Il m’a baisée encore un long moment. À la fin j’étais complètement fourbue, éreintée, j’avais joui je ne sais trop combien de fois, j’avais largement battu mon propre record de jouissances en une seule soirée.
    
    J’étais tellement épuisée que j’ai été presque heureuse de retrouver la solitude de mon appartement, ce soir-là. Je me suis affalée sur mon lit sans prendre la peine de me doucher et j’ai immédiatement sombré dans les bras de Morphée.
    
    Au petit matin, j’étais complètement endolorie, j’avais mal partout, à tel point que j’ai failli téléphoner pour dire que je n’irais ...
    ... pas travailler ce jour là. Mais il y avait décidément trop de choses à faire, alors je me suis levée, bon gré, mal gré, faisant fi des courbatures.
    
    Arrivée au parking, Louis-David m’y attendait. À peine sortie de mon véhicule, il m’a entraînée à l’écart derrière des piliers pour me caresser, pour m’embrasser. Il a troussé ma jupe, a glissé sa main dans ma culotte et a commencé à masturber ma chatte encore endolorie des ébats de la veille. Je l’ai cette fois-ci gentiment repoussé :
    
    — Arrête, tu me rends folle.
    
    Mais, comprenant qu’il avait de son côté à nouveau très envie, j’ai décidé de lui offrir ce petit plaisir matinal. Nous sommes retournés dans ma voiture où je lui ai fait une fellation sur la banquette. Je suis allée jusqu’au bout, j’ai pris toute son énergie dans ma bouche, il s’est vidé entièrement et, malgré le dégoût inspiré par ce sperme matinal, j’ai avalé toute sa semence.
    
    Le temps ensuite de me refaire une beauté et nous sommes remontés tranquillement par l’ascenseur. Il a quand même profité de ce court instant pour me bécoter et j’ai alors compris que j’aurai désormais beaucoup de mal à me défaire de cet amant insatiable.
    
    Les semaines qui suivirent furent pour moi un véritable feu d’artifice sexuel. Il me prenait tous les jours, souvent plusieurs fois par jour, toujours avec le même appétit féroce. Ça se passait, soit chez lui, soit chez moi, plus rarement au bureau. Sur ce plan-là j’avais mis le holà, prétextant que cela pouvait être dangereux et ...
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