Deux blacks TTBM pour une salope en chaleur - Histoires de Sexe

Deux blacks TTBM pour une salope en chaleur

... cigarette et boire du whisky.

« Maintenant tu vas essayer le crack, c’est très fort avec effets immédiats », me dit Alain et commence à préparer ce qu’il appelle des « cailloux ». Il mélange la poudre de cocaïne avec du bicarbonate, ajoute quelques gouttes d’eau, chauffe le mélange dans une cuillère et avec la lame d’un couteau il sépare le free-base du liquide. Il en met quelques morceaux dans une pipe et me la donne à fumer: « Aspire bien profondément et garde la fumée dans tes poumons le plus longtemps possible ». L’effet est immédiat. Un flash envahit tout mon corps, je redeviens plus chaude et j’ai très envie de bite. Alain me pousse violemment sur le canapé et me défonce avec force et brutalité, puis se retire et jouit dans ma bouche. J’avale tout comme d’habitude...

Il est presque minuit. On sonne à la porte. C’est Alain qui ouvre et me présente à ses deux de ses copains blacks qu’il avait invités pour la soirée. Deux grands athlètes bien musclés: « Voilà la salope qui va être à votre disposition toute la nuit, vous pouvez la défoncer autant de fois que vous voulez. Elle est soumise et très gourmande ». Puis il me demande de leur servir à boire. Je sers du whisky à tout le monde. Alors que je passe devant eux, Alain soulève ma minijupe, tape sur mes fesses et dit : « belle croupe de pute qui mérite de grosses bites». Et me fait signe de les sucer de suite. Je me mets à genou, j’ouvre leurs braguettes et commence à les sucer l’un après l’autre. De très belles ...

... bites épaisses et circoncises comme j’aime. Ils s’excitent très vite et veulent me prendre tout de suite, mais Alain leur dit de patienter un peu, le temps préparer les injections de cocaïne dans la salle de bains.

Il sort de son sac à dos 2 steribox contenant chacun 2 seringues aseptisées, une cuillère alu, un filtre en coton, de l’alcool et de l’eau stérilisée. Il verse la poudre dans la cuillère, ajoute quelques gouttes d’eau et mélange pour obtenir une solution homogène. A travers le filtre en coton il remplit entièrement une seringue, la secoue pour évacuer les bulles d’air, prend mon bras gauche, met un garrot, trouve la veine, la nettoie avec de l’alcool et enfonce aiguille dans ma veine en me disant : « Je vais y aller doucement mais, attention, l’effet est immédiat et très fort ». Il n’avait pas encore vidé entièrement la seringue que je ressens un flash dans le cerveau comme une foudre, puis un rayonnement de chaleur dans tout mon corps. J’ai envie de bite, de grosses bites.

Alain attache mon collier de chien et me traîné à quatre pattes dans la chambre où les deux blacks m’attendaient tout nus et les bites en l’air. Je me mets en levrette au bord du lit et leur présente ma croupe. L’un se met devant moi et me présente sa grosse bite à sucer, l’autre se positionne derrières mes fesses, enduit sa bite de gel et me pénètre lentement jusqu’au fond. Ensuite il me donne des claques sur les fesses et me traite de pute et pétasse, des mots qui multiplient mon excitation. ...