1. Les 1001 perversions de Nathalie (9) Faire des choses sales


    Datte: 24/05/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Egrewam, Source: Hds

    «Je suis faite pour la queue, je suis une cochonne et ça me plaît. J‘aime le sexe, j‘aime le mâle, j‘aime la bite et j‘aime me faire baiser !»
    
    Cela fait un mois que Nathalie a reprit sa vie de cadre dans une grande banque et de bourgeoise BCBG. Et depuis un mois cette pensée tourne dans sa tête tel un leitmotiv.
    
    Au bureau, elle remarque maintenant les regards qui se posent sur elle, sur son corps. Au paravent, elle avait bien remarqué quelques fois ce type de coup d'oeil, mais elle n’y prêtait pas attention. Ses tenues ont changé. Un décolleté plus généreux, des robes ou des jupes un peu plus courtes.
    
    Que ce soit un homme ou une femme qui essaie d’apercevoir un peu plus que ce qu’elle dévoile ou qui la déshabille des yeux, maintenant elle se surprend à rechercher ces situations, presque à les provoquer. Ou à se dire, lorsque son miroir lui renvoie l’image d’une bourgeoise sage, qu’elle pourrait pimenter sa journée en omettant de mettre une culotte. L’idée de se promener nue sous sa jupe, l'impression que tout le monde peut deviner sa nudité la fait mouiller.
    
    Et toujours le leitmotiv qui tourne et tourne dans sa tête... Une partie d’elle est chez Marc et Léa… Au "Cercle"… Elle revit les moments intenses qu’elle a vécus, qui lui ont révélés sa perversion... et qu’elle veut vivre encore.
    
    Peut-être espérait-elle vivre tout cela avec son mari pour ne pas avoir à le tromper, à lui mentir. Il lui fait l’amour tendrement, comme d'habitude. Même si elle apprécie, aime ...
    ... ces moments, Nathalie n’est pas tout à fait présente.
    
    Il ne possède pas la bestialité de Germain, ni la queue si dure d'Houssam, ni la perversité de Marc et de Léa. Elle réalise qu’elle ne pourra jamais éprouver avec lui ces moments d’excitation perverse, de vice et de luxure.
    
    Parfois, cette révélation lui fait presque peur. Il faudrait qu’elle arrête tout cela pour ne pas sombrer définitivement. L’éventualité est rapidement repoussée. Elle se rend compte qu’elle est devenue accro à toutes ces sensations.
    
    Il arrive qu’un homme la suive dans la rue, les yeux sur ses fesses. Et surtout, lorsqu'il s'agit d'un ou deux Arabes son cœur bat la chamade, lui donne envie d’aller plus loin. De retrousser sa jupe, de montrer son cul, de baiser. Cela la fait trembler. La sueur coule entre ses seins. Elle perd tous ses moyens s'ils s’approchent :
    
    - Tu tortilles du cul, salope, tu aimes ça, allumer les mecs ? Je suis sûr que ta culotte est trempée. Tu veux nous sucer ?
    
    Alors le soir, allongée à côté de son mari endormi, elle se masturbe, s'imaginant suivre les deux Arabes dans un couloir sombre. Elle retrousse sa jupe jusqu’à la taille. La crainte d’être surprise, au lieu de l’inhiber, attise son désir. Il faut faire vite.
    
    Ils ouvrent leur braguette, sortent leur queue, se branlent en la regardant fourrer la main dans sa culotte. Elle suce l'un en se frottant et il éjacule dans sa bouche tandis que l'autre gicle sur ses cuisses.
    
    Elle jouit en se mordant les lèvres pour ...
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